tag:blogger.com,1999:blog-35552740887347128282024-03-13T02:34:53.440+01:00Les chroniques livres de MarieChroniques, entretiens, articles... par Marie BARRILLON (Auteur)
Merci pour vos visites et vos commentaires. Les chroniques de Mariehttp://www.blogger.com/profile/09606654020878490412noreply@blogger.comBlogger258125tag:blogger.com,1999:blog-3555274088734712828.post-60360224435633030822022-03-03T17:13:00.003+01:002022-03-03T18:15:06.510+01:00Le silence de la terre<p><span style="font-family: georgia; font-size: medium;"> <span style="text-align: justify;"><a href="https://amzn.to/3sEAftE" target="_blank">Le silencede la terre</a> de Emmanuel de Scorraille chez M+ Éditions</span></span></p>
<p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="font-family: georgia; font-size: medium;">Au détour
d’un réseau social, j’ai fait connaissance avec <a href="https://mpluseditions.fr/emmanuel-de-scorraille.html" target="_blank">Emmanuel de Scorraille</a>, dont je
parcours la biographie sur le net, et je découvre que nous sommes de la même
génération. « <i><a href="https://mpluseditions.fr/emmanuel-de-scorraille.html" target="_blank">Le silence de la terre</a></i> » est son troisième roman publié
chez M+ Éditions. Le premier étant « <i>M, l’aube de la vie</i> », publié en
octobre 2018, aux Éditions Sydney Laurent, et le second « <i>Grégoire</i> »
également publié en 2018 aux Éditions Sydney Laurent. Au passage, je remercie
M+ Éditions, l’éditeur, pour l’envoi de cet ouvrage dont j’ai plaisir à parler.<o:p></o:p></span></p>
<p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="font-family: georgia; font-size: medium;">S’agissant
de ce roman « <i><a href="https://mpluseditions.fr/emmanuel-de-scorraille.html" target="_blank">Le silence de la terre</a></i> », on appréciera le style, mais
surtout la maîtrise de l’écriture qui n’a rien à envier aux autres ni à
personne, et qui est au demeurant bien captivant.<o:p></o:p></span></p>
<p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="mso-ascii-font-family: Calibri; mso-bidi-font-family: Calibri; mso-hansi-font-family: Calibri;"><span style="font-family: georgia; font-size: medium;">Le titre de
cet ouvrage m’a immédiatement intéressée quand je l’ai vu circuler sur Twitter,
Le silence de la terre ! Car oui, la terre est bien silencieuse malgré ses
souffrances, malgré ce que nous lui faisons subir avec ce que nous lui
infligeons quotidiennement sans l’ombre d’un regret ! Les deux premières
phrases ont également trouvé un écho dans mon esprit « <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Une fois révélés, il y a des secrets qui
asphyxient ! </i>» et « <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Tant
qu’ils ne sont pas révélés, il est des secrets qui asphyxient !</i> »
Une évidence !<o:p></o:p></span></span></p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="font-family: georgia; font-size: medium;"></span></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><span style="font-family: georgia; font-size: medium;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEhBJBPLWczEUJP-SS-33yINjetJWN0E55NAzFYgk3knaoKVuUaLkGympFWE1fWhPn679TorkV-FokKZoxCX2FevfSiAs5Yueo0FbgzAvVIKG0kFbiB9JLBA4yBDb4wDKl69Yi8HPr0Or7-6IMHLcdGtEaIvuFLBC-Aqt3c8p38HRtxRnskTHCa57pTK=s555" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="555" data-original-width="387" height="320" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEhBJBPLWczEUJP-SS-33yINjetJWN0E55NAzFYgk3knaoKVuUaLkGympFWE1fWhPn679TorkV-FokKZoxCX2FevfSiAs5Yueo0FbgzAvVIKG0kFbiB9JLBA4yBDb4wDKl69Yi8HPr0Or7-6IMHLcdGtEaIvuFLBC-Aqt3c8p38HRtxRnskTHCa57pTK=s320" width="223" /></a></span></div><span style="font-family: georgia; font-size: medium;">Ce roman s’égraine en s’inspirant de l’actualité tout en ayant malgré tout un fond historique qui lui est parfaitement « indétachable ». Le personnage principal, Éric, est historien. Rien de surprenant lorsque l’on sait que l’auteur est diplômé lui-même de l'enseignement supérieur, et qu’il est un romancier passionné d'histoire, de culture et de littérature.</span><p></p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="font-family: georgia; font-size: medium;">Nous entrons donc dans cette lecture sur les pas d’Éric qui va éveiller notre esprit, mais aussi faire resurgir des souvenirs pour certains ensevelis profondément. Dès le début de cette lecture, des questions s’immiscent poussant à la réflexion « Combien de fois l’Histoire a-t-elle dû s’adapter aux exigences de l’homme ? » Des interrogations que l’on pourraient qualifier d’existentielles, mais qui demeurent en tout temps. Qui ne s’est pas posé un jour ce genre de questions sans même jamais, ou pour autant, trouver de réponses ?</span></p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="font-family: georgia; font-size: medium;">Éric est un homme célibataire et, après plus de quinze années d’absence, se rend pour une rapide visite dans la maison de vacances de la famille située au « Conssé ». Dans cette bâtisse réside la tante Clémentine de Boisin, un joli nom de fruit frais pour cette dame âgée de 98 ans. Le pied encore alerte, l’esprit bouillonnant et la vue toujours affinée, tante Clem a conservé un certain caractère tout en étant l'âme de cette maison dans laquelle elle y accueille sa famille l’été, mais où le reste de l’année elle y vit seule. Cette visite d’Éric qui se voulait initialement rapide va prendre une tout autre allure. En cause, une découverte surprenante !<br /></span></p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="font-family: georgia; font-size: medium;">Mais avant cela, l’échange verbal avec tante Clem donne le ton, et le narrateur constate : « À mes côtés, j’ai pour passager le doute. Il ne cesse d’opposer la réflexion de la tante Clémentine à la mienne. » Éric l’assure : « À cet instant-là, nul ne peut deviner qu’au bout de la table se tient un hôte silencieux. Il a pour nom l’histoire. Il va s’inviter à pleine voix ! »</span></p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEjE7cvrcCpXa5wCzZhmlzKn-gkosNtbs-zZ-XpR7pA5GNATKkLpELl7qX0aW-zkO96mt8ZqxUTQj9QssDXH_6p6ak3OdoShowovuot9LVvMT1C0CHUPA6cYiw4Lpix111HAb8jY1mWu4kFvF8ndG-NVa8Noyc9qicxFg-RQOM7I3xR1KiTf3xR8Iei4=s252" style="clear: right; float: right; margin-bottom: 1em; margin-left: 1em;"><img border="0" data-original-height="252" data-original-width="166" height="252" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEjE7cvrcCpXa5wCzZhmlzKn-gkosNtbs-zZ-XpR7pA5GNATKkLpELl7qX0aW-zkO96mt8ZqxUTQj9QssDXH_6p6ak3OdoShowovuot9LVvMT1C0CHUPA6cYiw4Lpix111HAb8jY1mWu4kFvF8ndG-NVa8Noyc9qicxFg-RQOM7I3xR1KiTf3xR8Iei4" width="166" /></a></div><span style="font-family: georgia; font-size: medium;">À bien y regarder, ou plutôt à bien y réfléchir, cet hôte silencieux est présent quasiment partout, dans toutes les familles. Je ne connais personne qui pourrait avérer le contraire, car en cherchant bien toute famille a une histoire, certaines merveilleuses avec des secrets avouables ou non, d’autres moins jolies qui n’ont pour leur part plus aucun secret à cacher.</span><p></p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="font-family: georgia; font-size: medium;">En découvrant une photo dans le grenier alors qu’il y était monté à contre cœur pour y trouver un vélo pour le jeune cousin Édouard, et bien qu’elle paraisse insignifiante, celle-ci va emmener Éric sur les traces d’un meurtre au cœur de la Première Guerre mondiale. Sur cette photo se trouve un soldat Allemand souriant remontant à la Seconde Guerre mondiale. Cette photo date donc de cette seconde période de l'histoire des guerres de notre pays. Notre narrateur va enquêter, ce qui va le mener sur les questions environnementales et les problématiques qui en découlent comme le dérèglement climatique, les gaz à effet de serre, les perturbations des écosystèmes, etc. Autant de complexités néfastes qui font souffrir la terre. La terre souffre, mais les peuples aussi, de la crise économique à celle des gilets jaunes, les peuples ont de plus en plus de difficultés à joindre les débuts aux fins de mois.</span></p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="font-family: georgia; font-size: medium;">Éric va interroger tante Clémentine sur ladite photo qui ressemble à un secret qui devrait peut-être rester ce qu’il est, ce qui va quelque peu la mettre en difficulté dans ses réponses. Mais Éric ne peut en rester là. Il est curieux et, rappelons-le, historien ! Il veut enquêter pour en savoir plus. La photo d’un Allemand durant la première guerre mondiale dans le grenier ne peut pas être là par hasard ! Nous voilà partis dans une quête de la vérité, même si tout n’est pas toujours bon à savoir ou, comme le disait ma mère, toute vérité n’est pas toujours bonne à dire.</span></p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="font-family: georgia; font-size: medium;">De cette enquête à la crise des gilets jaunes et leurs revendications, bien qu’il y ait une grande distance en termes d’années, les évènements trouvent un chemin dans notre présent par le biais de la plume de l’auteur qui fait de son personnage un obstiné voulant découvrir ce qui se cache à travers ce cliché en noir et blanc à une époque lointaine, et pas forcément des meilleures.</span></p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="font-family: georgia; font-size: medium;">Le vocabulaire est d’une belle richesse que l’on abordera avec plaisir, sans pour autant être trop complexe non plus. De ce fait, la compréhension est assez aisée, la lecture très agréable et sans la moindre lassitude, nous emporte au gré des pages et des évènements.</span></p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="font-family: georgia; font-size: medium;">Une belle histoire de famille qu’on a plaisir à découvrir avec ses secrets et tous les autres éléments savamment orchestré par le style d’Emmanuel de Scorraille. Mon seul bémol : je trouve dommage que le titre soit déjà utilisé pour d’autres ouvrages qui n’ont rien à voir avec celui-ci, ce qui pourraient être dérangeant pour les lecteurs. J’indique donc les liens permettant d’accéder à l’ouvrage concerné par cette chronique sous différents formats pour que vous, lecteurs, ne soyez pas en recherche.</span></p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="font-family: georgia; font-size: medium;">Un roman à découvrir ! Et la bonne idée, « Le silence de la terre » est également disponible en livre audio.</span></p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="font-family: georgia; font-size: medium;"><br /></span></p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="font-family: georgia; font-size: medium;"><b>Quelques phrases relevées au cours de ma lecture :</b></span></p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="font-family: georgia; font-size: medium;">- « Un historien [...] c'est un rat qui œuvre dans la poussière de vieux bouquins. </span><span style="font-family: georgia; font-size: large;">»</span></p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;"><span style="font-family: georgia;">- </span><span style="font-family: georgia;">« Ces demeures-là, conservent dans leurs murs de pierre la mémoire de l'intime des gens passés à la postérité </span><span style="font-family: georgia;">» (dit pour les vieilles maisons de famille)</span></span></p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;"><span style="font-family: georgia;">- </span><span style="font-family: georgia;">« Et ces mêmes pierres se préparent à recueillir l'esprit de ceux qui y vivent encore. </span><span style="font-family: georgia;">»</span></span></p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;"><span style="font-family: georgia;">- </span><span style="font-family: georgia;">« Autrefois, dans ces maisons bien établies, on y naissait, on y vivait, on y mourait. En conclusion, on y veillait du premier au dernier souffle de vie. Ça, c'était autrefois. De nos jours, il en va autrement. </span><span style="font-family: georgia;">»</span></span></p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;"><span style="font-family: georgia;">- </span><span style="font-family: georgia;">« En voulant trop aménager par procuration, on finit par tuer les paysages et ses hommes. On veut notre meilleur, mais contre notre bien, et de très loin ! </span><span style="font-family: georgia;">»</span></span></p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;"><span style="font-family: georgia;">- </span><span style="font-family: georgia;">« Tôt ou tard, la maison aurait accouché de sa mémoire. Autant le faire dans de bonnes conditions, plutôt que par la douleur du scandale. </span><span style="font-family: georgia;">»</span></span></p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;"><span style="font-family: georgia;">- </span><span style="font-family: georgia;">« Le souhait féminin est un ordre de réquisition. </span><span style="font-family: georgia;">»</span></span></p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;"><span style="font-family: georgia;">- </span><span style="font-family: georgia;">« La première rencontre avec un document historique est un moment de vérité. </span><span style="font-family: georgia;">»</span></span></p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;"><span style="font-family: georgia;">- </span><span style="font-family: georgia;">« Le rien de conversation tombe au fond des assiettes. </span><span style="font-family: georgia;">»</span></span></p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;"><span style="font-family: georgia;">- </span><span style="font-family: georgia;">« Rien n'est pire que l'amnésie délibérée. </span><span style="font-family: georgia;">»</span></span></p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;"><span style="font-family: georgia;"><br /></span></span></p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEjYGEROwxZajg-oTbYkKzOiAw3S7I5VaS4jYZURtGiBsvC29dL3ocwrXwHJu4EEXXkL9XDTeLE4M58ttPRrCDiBNTtvbGR8a07fMqJddDuC9C001eE-OYTN2KmK_nVVVo5B1DP-z33UQWfxolOXtnQ5Cv9Mj-iGSi0Ucs525BG-83_sxnsxfcaekz5f=s380" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="234" data-original-width="380" height="197" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEjYGEROwxZajg-oTbYkKzOiAw3S7I5VaS4jYZURtGiBsvC29dL3ocwrXwHJu4EEXXkL9XDTeLE4M58ttPRrCDiBNTtvbGR8a07fMqJddDuC9C001eE-OYTN2KmK_nVVVo5B1DP-z33UQWfxolOXtnQ5Cv9Mj-iGSi0Ucs525BG-83_sxnsxfcaekz5f=s320" width="320" /></a></div><br /><span style="font-family: georgia; font-size: medium;"><br /></span><p></p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="font-family: georgia; font-size: medium;"><b>Titre :</b> Le silence de la terre</span></p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="font-family: georgia; font-size: medium;"><b>Auteur :</b> Emmanuel de Scorraille</span></p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="font-family: georgia; font-size: medium;"><b>Éditions :</b> <a href="https://mpluseditions.fr/emmanuel-de-scorraille.html" target="_blank">M+Edition</a> </span></p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="font-family: georgia; font-size: medium;"><b>Format papier :</b> <a href="https://amzn.to/3sEAftE" target="_blank">Le silence de la terre</a> </span></p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="font-family: georgia; font-size: medium;"><b>Format Kindle :</b> <a href="https://amzn.to/3HykSax" target="_blank">Le silence de la terre</a> </span></p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="font-family: georgia; font-size: medium;"><b>Format Livre audio :</b> <a href="https://bookdoreille.com/fr/le-silence-de-la-terre" target="_blank">Le silence de la terre</a></span></p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><br /></p>Les chroniques de Mariehttp://www.blogger.com/profile/09606654020878490412noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-3555274088734712828.post-74312965518589449112021-12-17T16:13:00.004+01:002021-12-17T18:31:07.636+01:00<h1 style="text-align: left;"><b><span style="font-size: medium;"> </span><span style="font-size: x-large; text-align: justify;"><span>Les coups</span><span> </span></span></b></h1>
<p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;"><a href="https://fr.wikipedia.org/wiki/Jean_Amila" target="_blank">Jean Meckert</a> de son nom de
naissance, publiait également des romans populaires sous différents pseudonymes
jusqu’en 1946 comme l’indique Wikipédia : « John Amila » devenu « Jean
Amila », car dira l’auteur : « <i>je ne suis pas américain</i> », « Édouard Duret », « Edmond
Duret », « Guy Duret » (Duret étant le nom de jeune fille de sa
mère), « Albert Duvivier », mais aussi « Marcel Pivert » et
« Mariodile ». </span></p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;">En parcourant la Fiche Wiki qui
le concerne, je viens à comprendre la teneur qui émane de l’ouvrage « Les
coups », son premier roman. Ne dit-on pas qu’il y a une part de l’auteur
dans les ouvrages qu’il écrit. Oui, cela me semble évident, même si part des
effets de contour on cherche à se dévoiler le moins possible, il en reste tout
même souvent des parcelles, des bribes et autres fragments. Jean Meckert est
auteur de nombreux ouvrages de genre divers dont la plus grande partie n’est
plus rééditée. Il est néanmoins à découvrir. </span></p>
<p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;">« <i><b><a href="https://amzn.to/3scok6D" target="_blank">Les coups</a></b></i> » est un roman essentiellement axé sur la condition
sociale en général et celle du narrateur et de son entourage en particulier à
son époque. On y découvre des relations assez conflictuelles aussi bien dans le
milieu professionnel que personnel, mais aussi le manque d’ambition du
narrateur qui l’empêche d’accéder à une certaine ascension sociale et qui par
effet d’un certain nombre d’éléments n’offre que des petits bonheurs éphémères.
Des petits bonheurs qui parfois dérapent dans la laideur.</span></p>
<p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;"></span></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><span style="font-size: medium;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEjzV2dM47OVt87xKjfDRMAv1xQ1NOh8EfvDm93uTn_jx-e2VZ_hztqYZ17KDQPmMfHihSIIjN0xOekMbMMjxykOkx-1EPgExfmyJ1LuFj2GP2IfoLzKgWRXHtToMxrlpaPq3PDuNPaZeHjAX-yIOwRGjNb3jpPm3Xw8UJ8HWCf2VA3cby_sBsmfD2UN=s529" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="529" data-original-width="348" height="320" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEjzV2dM47OVt87xKjfDRMAv1xQ1NOh8EfvDm93uTn_jx-e2VZ_hztqYZ17KDQPmMfHihSIIjN0xOekMbMMjxykOkx-1EPgExfmyJ1LuFj2GP2IfoLzKgWRXHtToMxrlpaPq3PDuNPaZeHjAX-yIOwRGjNb3jpPm3Xw8UJ8HWCf2VA3cby_sBsmfD2UN=s320" width="211" /></a></span></div><span style="font-size: medium;">On a plaisir à découvrir la forme
de langage populaire des années 30 avec l’argot de l’époque qui, pour certains,
ne sera peut-être pas aisé à comprendre. Certaines expressions peuvent porter à
sourire : « <i>C'était bien beau, tout
ça, très reposant. Tout le reste c'était du montage de cafetière</i> », tandis
que d’autres peuvent paraître biscornues, voire insolites, mais dans l’ensemble
la lecture y est plaisante.</span><p></p>
<p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;">Félix est un ouvrier manœuvre parisien
qui se sent incompris, quoi qu’il fasse et quoi qu’il dise. Sa rencontre avec
Paulette, qui vit une difficile histoire qui se solde par une rupture, les
mènera à un amour qu’ils vont croire indéfectible au premier abord et à une vie
commune « <i>Je la consolais, elle me
racontait ses gros chagrins. C'était un point tellement culminant pour moi,
j'avais des sentiments tellement jouisseurs que je me suis toujours demandé si
c'était un sommet de volupté, de consoler une petite bonne femme comme ça</i> ».
Le futur en sera autrement.</span></p>
<p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;">Seulement, chez Félix la
souffrance est latente, savamment dissimulée, et petit à petit elle fait son
chemin pour anéantir le beau de cette petite vie commune d’amoureux tranquilles :
« <i>J'ai peur de la rendre banale ma belle
histoire dont je ne suis pas très fier. Les mots ont tellement besoin de
logique que vingt fois déjà j'ai eu le dégoût de la continuer, mon histoire</i>
», et il ne lutte pas pour contrer ce dont il a peur ni pour effacer ces
souffrances au profit du bonheur que cette histoire nouvelle avec Paulette
promettait.</span></p>
<p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;">La décomposition du couple est
inévitable, lente et presque invisible au départ pour finalement s’achever dans
la brusquerie, et même la brutalité, tant verbalement que physiquement : «
<i>Il fallait presque un peu de vacherie
dans nos amours pour les rendre potables</i> ». Le bouillon de rancœur se
peaufine intérieurement rendant les silences difficiles avant d’éclater en
termes crus et violents jusqu’à atteindre les summums de la folie par des
volées de coups et d’insultes acerbes.</span></p>
<p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;">Les rencontres entre amis ou les
repas de famille ne font pas exception et ne font qu’amplifier certains
malaises tout en faisant naître des rancœurs supplémentaires à celles déjà présentes :
« <i>On parlait, bouche pleine ou vide, avec
des sourires et des faux coups de gueule bien réglés. C'était cordial,
familial, et toujours à un doigt pourtant de la fâcherie solennelle</i> ».</span></p>
<p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEi1SL8qyV_pWLPIAlo_Ypq58WVMZTcRhdYXR0Lq8TT5R-I28sl1V4S_5Db1XCZhe_LlkmI_yfH1N8yc5PpCRQ0DVnoTzXrAuwLKT8npn4OzC5_omX8jn31BvoWZByJvPrPsJdLCHmBXhYh-cnNIXQ7qNPxyxB47b6bBkG28_atEGZxQpbAjlCPYTtc3=s2289" style="clear: right; float: right; margin-bottom: 1em; margin-left: 1em;"><img border="0" data-original-height="2289" data-original-width="1372" height="320" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEi1SL8qyV_pWLPIAlo_Ypq58WVMZTcRhdYXR0Lq8TT5R-I28sl1V4S_5Db1XCZhe_LlkmI_yfH1N8yc5PpCRQ0DVnoTzXrAuwLKT8npn4OzC5_omX8jn31BvoWZByJvPrPsJdLCHmBXhYh-cnNIXQ7qNPxyxB47b6bBkG28_atEGZxQpbAjlCPYTtc3=s320" width="192" /></a></div><span style="font-size: medium;">Félix et Paulette qui auraient pu
être des amoureux heureux se trouvent être aussi fissurés et incompris l’un que
l’autre : « <i>On se comprenait bien
mieux par le silence, sans ce besoin de délayer chaque sauce avant de la servir</i>
». L’une est passive dans un premier temps avant de se rebeller ensuite, l’autre
rumine avant de devenir un bourreau brutal et molestant sans retenue.<br /></span><p></p>
<p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;">Et même si Félix admet que dans
leur histoire : « <i>On a eu de vrais
bons moments, à seulement vivre. Toutes ces petites secondes indécorticables
qui s'appellent le bonheur, on les a repérées, par-ci, par-là, faites de petits
égoïsmes, d'immenses oublis, bardées d'obscénité à force d'être heureuses,
irracontables comme des injures à la face du monde</i> », cela ne suffira pas à
la sauver, à les sauver.</span></p>
<p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;">Finalement, je ressors de cette
lecture avec une émotion difficilement qualifiable, tristement secouée et avec
le cœur un peu lourd tant l’histoire se termine dans la noirceur. J’ai apprécié
la lecture, les mots, les tournures de phrases, les sous-entendus, mais
beaucoup moins apprécié le contexte, l’évolution, les situations et la sinistre
finalité. Une chose est sûre, bien que ce roman date du siècle dernier, de nos
jours ce sujet reste cruellement d’actualité !</span></p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;"><b>Phrases relevées au cours de ma
lecture :</b></span></p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;">- « <i>C'est inouï ce qu'on peut se
dire de choses, comme ça, pour ne rien dire.</i> »</span></p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;">- « <i>Je me trompe peut-être, mais je
n'aime pas les gens qui causent. Tout comme la mode est faite pour les gens qui
n'ont pas de goût, la causette c'est le paravent de ceux qui n'ont rien dans le
ventre, c'est la grande recherche de l'impasse qu'on baptise infini, c'est la
grande tromperie civilisée, ce qu'on aperçoit du dehors, du monté à graines, du
loupé.</i> »</span></p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;">- « <i>Moi j'étais tout drôle, j'avais
bien envie d'elle et je l'analysais pourtant, je décortiquais ses petites
phrases sans fond, son panier à chagrin. </i>»</span></p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;">- « <i>Elle était pleinement amoureuse
ma petite Paulette. Un peu tendre, elle agrandissait ses yeux à me regarder,
elle avait une humidité de belle madone sous les paupières, elle était jolie.</i> »</span></p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;">- « <i>On embarquait dans des
histoires grand siècle, on se fignolait le langage tout comme des cabots de
province qui susurrent du classique. On se collait des tartines reluisantes de
famille. On ne rigolait plus. On se versait des pleins radeaux de jabots et de
crinolines et vertugadins.</i> »</span></p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;">- « <i>Ce qui sortait d'elle, ce qui
poussait d'elle… je ne sais pas dire. Peut-être que je l'aimais au-delà de
toute la basse vulgarité de sa coquille. Peut-être que la plastique n'est qu'un
simple passe-temps d'intellectuel.</i> » </span></p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;">- « <i>On m'avait bien raconté son
histoire, qu'elle était un peu putin et femme entretenue… si elle avait loupé
le coche il n'y aurait pas eu assez de silences pour reprouver sa honteuse
conduite. Mais étant donné le magot, on renversait alors des petits carrés de
morale pour lui trouver des excuses. </i>» </span></p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;">- « <i>Elle s'est mise à me chercher
des raisons sur ce que je n'avais pas le respect de moi-même. Elle pleurait sur
elles, derrière le paravent des locutions et des proverbes qui découlaient de
la situation.</i> »</span></p><h3 style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;"><b>Détails du livre :</b></span></h3><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;">Titre : Les coups</span></p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;">Auteur : Jean Meckert</span></p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;">Éditions : Folio</span></p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;">
</p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;">ISBN : 978 2070 421688</span></p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;">Format poche : <a href="https://amzn.to/3scok6D" target="_blank">Les coups - Poche</a></span></p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;">Format Kindle : </span><a href="https://amzn.to/3GTmRpI" target="_blank"><span style="font-size: medium;">Les coups - Kindle</span><br /></a></p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;">Plus d'ouvrages de Jean Meckert sur la librairie Galimard : <a href="https://www.librairie-gallimard.com/listeliv.php?base=paper&form_recherche_avancee=ok&auteurs=Jean+Meckert" target="_blank">Jean Meckert</a> </span></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><br /></div><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEgjOYoWq-EvmpeUrX0iGurqdhpMpcDq85pb2XL3nmDY0WyShVcctYRv3SvxM_wRm7a-nMqCinAw7VXz7lNz_Mvf_o1BOSAGajDCi2EDyFAalVRnIEKdeDyLd55GEjHHnaNpoY7QwA5kdHKG6drOGDM5rQsambaAoH7-t9LFrXCq4S8DvMqzlkcC8Qh6=s446" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="145" data-original-width="446" height="130" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEgjOYoWq-EvmpeUrX0iGurqdhpMpcDq85pb2XL3nmDY0WyShVcctYRv3SvxM_wRm7a-nMqCinAw7VXz7lNz_Mvf_o1BOSAGajDCi2EDyFAalVRnIEKdeDyLd55GEjHHnaNpoY7QwA5kdHKG6drOGDM5rQsambaAoH7-t9LFrXCq4S8DvMqzlkcC8Qh6=w400-h130" width="400" /></a></div><br /><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><br /></p>
<span face="Calibri, "sans-serif"" style="background: white; color: #1b1b1b; line-height: 115%;"><span style="font-size: medium;"></span></span>Les chroniques de Mariehttp://www.blogger.com/profile/09606654020878490412noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-3555274088734712828.post-64531312736191620442021-12-14T00:18:00.004+01:002023-10-15T07:59:58.216+02:00<p><span style="font-size: medium;"> <span style="text-align: justify;"><a href="https://mariebarrillon.blogspot.com/2021/12/elles-le-chemin-des-revelations-marie.html" target="_blank">Elles : le chemin des révélations</a>, Marie BARRILLON, TheBookEdition</span></span></p>
<p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;">Parmi les incontournables sorties
de livres, il faut compter avec le roman « <a href="https://www.thebookedition.com/fr/elles-le-chemin-des-revelations-p-386085.html" target="_blank">Elles : le chemin des révélations</a> ». Oui, oui, je sais, les chevilles qui gonflent… les cheveux
qui se tortillent… mais toujours avec une immense humilité. N’ai-je pas le
droit d’y croire ?</span></p>
<p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;">Quel est l’auteur qui ne croit
pas en ce qu’il a écrit, ce qu’il a créé, ce qu’il a imaginé, et pour lequel il
a passé des heures à plancher pour vous offrir une belle histoire. Nombre d’heures
qu’il ne compte jamais à rédiger d’une part, mais aussi lire, relire et relire
encore.</span></p>
<p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;">Alors, quel est ce nouveau roman
que j’ai écrit pour vous ? « <a href="https://www.thebookedition.com/fr/elles-le-chemin-des-revelations-p-386085.html" target="_blank">Elles : le chemin des révélations</a> »
est un roman d’émotions, comme à mon habitude, dirons-nous. Mais, il n’a rien
de similaire aux précédents. Ils sont chaque fois différents, leurs seules
ressemblances ? La catégorie dans lesquels je les place « roman d’émotions »,
puis le fait que le personnage principal est toujours une femme.</span></p>
<p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;">Ici, il s’agit donc d’un roman d’émotions
sous couvert de conflit familial où amour et désamour s’entrechoquent.</span></p>
<p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEh-1qvxL4o_uL6-ZmN3cAofoYRMV3R3eNmYLpkpYxbOgqCDQDUrM7I9n7p_GE1p2oFBRd9BDxUp3A6uDn6PErpnwgA2fiHxvCb2aPVSK-dQ1q5WJl1hHW-66RjBXxJ5T7WrO0QyHE2Mqat5y4AQ9bkHqw8yywoz7lMhsbm7qIYubYPOuXqOy8bibQ6V=s2499" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="2499" data-original-width="1733" height="200" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEh-1qvxL4o_uL6-ZmN3cAofoYRMV3R3eNmYLpkpYxbOgqCDQDUrM7I9n7p_GE1p2oFBRd9BDxUp3A6uDn6PErpnwgA2fiHxvCb2aPVSK-dQ1q5WJl1hHW-66RjBXxJ5T7WrO0QyHE2Mqat5y4AQ9bkHqw8yywoz7lMhsbm7qIYubYPOuXqOy8bibQ6V=w139-h200" width="139" /></a></div><span style="font-size: medium;"><b>Le résumé :</b></span><p></p>
<p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;">Jayny, qui se retrouve seule
après une sale histoire d’amour avortée, apprend par un notaire le décès
tragique de ses parents avec lesquels elle n’avait plus de contact depuis sept
ans. Que s’est-il passé ? </span></p>
<p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;">Quelles sont les causes de
l’accident ?</span></p>
<p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;">Elle découvre la fortune dont
elle est l’unique héritière. Pourquoi lui ont-ils tout légué, alors qu’ils
auraient pu prendre des dispositions pour ne lui laisser que le minimum légal ?
Qui étaient-ils vraiment ?</span></p>
<p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;">Dans le même temps, elle fait la
connaissance de Jessy, une petite provinciale orpheline depuis l’enfance, qui
vient d’arriver dans la capitale depuis sa province, et sortant tout droit de
l’orphelinat où elle a été élevée par des sœurs. Qui est-elle ? Un ciment va
les lier, mais lequel et pourquoi ?</span><br /></p>
<p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEiHHtw2DgcjktrSz2ekAKoiqO49Zjx4f9MpzEKUPQ52Q_LPhDWVdkv2YgYKk3lGmXlTwyZLiazXzz1oPsrCCEEugJzBdOnCcVXwZjRxp21fJGLPPy4ZT6IMnf2YhZ8JKZ6X7SfjZ-DKAN04fSYKWndk0FL8AVQjabB1Qh4xC9RWf_Bi9svdtLjucAfF=s2499" style="clear: right; float: right; margin-bottom: 1em; margin-left: 1em;"><img border="0" data-original-height="2499" data-original-width="1740" height="200" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEiHHtw2DgcjktrSz2ekAKoiqO49Zjx4f9MpzEKUPQ52Q_LPhDWVdkv2YgYKk3lGmXlTwyZLiazXzz1oPsrCCEEugJzBdOnCcVXwZjRxp21fJGLPPy4ZT6IMnf2YhZ8JKZ6X7SfjZ-DKAN04fSYKWndk0FL8AVQjabB1Qh4xC9RWf_Bi9svdtLjucAfF=w139-h200" width="139" /></a></div><span style="font-size: medium;">À l’aube d’une nouvelle direction
dans sa vie, elle va rencontrer Gaby, la meilleure amie de sa mère, qui va lui
faire des révélations dont, pour la plus grande partie, elle est directement
concernée. Des révélations chocs qui vont lui ouvrir les portes de la
compréhension quant à ces relations compliquées et difficiles qu’elle avait
entretenues avec ses parents. Toute famille ayant ses secrets, avouables ou
non, Jayny ne fait pas exception à la règle, et l’apprendra dans un choc
émotionnel qu’elle devra relever en gardant la tête haute.</span><p></p>
<p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;">Alors, tenté ?</span></p>
<p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;">N’hésitez pas à laisser un
commentaire si le cœur vous en dit.</span></p>
<p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;">Titre : <a href="https://www.thebookedition.com/fr/elles-le-chemin-des-revelations-p-386085.html" target="_blank">Elles : le chemin des révélations</a></span></p>
<p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;">Auteur : <a href="https://www.thebookedition.com/fr/17633_marie-barrillon" target="_blank">Marie BARRILLON</a></span></p>
<p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;">Editions : <a href="https://www.thebookedition.com/fr/elles-le-chemin-des-revelations-p-386085.html" target="_blank">TheBookEdition</a></span></p>
<p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;">ISBN : 978 2954 145068</span></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEjyF7kTVCmLjfJ1khPeIV20SqYnSixDt87QumT8N-JWDSR8ktOMsRcVd0CGQLMZInBriu1tN7wBJ7mUmaz0qIKdqLF5ZZfJrRoJ4F_bUx8gNnUhG9mbGUo344ovSO8a5fXNWf1keHjahZAiCKOh87mGc5AsmhzvhQxA3hg699yqtcB684L7DVOiGzEs=s3685" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="2499" data-original-width="3685" height="217" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEjyF7kTVCmLjfJ1khPeIV20SqYnSixDt87QumT8N-JWDSR8ktOMsRcVd0CGQLMZInBriu1tN7wBJ7mUmaz0qIKdqLF5ZZfJrRoJ4F_bUx8gNnUhG9mbGUo344ovSO8a5fXNWf1keHjahZAiCKOh87mGc5AsmhzvhQxA3hg699yqtcB684L7DVOiGzEs=s320" width="320" /></a></div><br /><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><br /></p>Les chroniques de Mariehttp://www.blogger.com/profile/09606654020878490412noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-3555274088734712828.post-56729238545690720232021-11-07T13:44:00.005+01:002021-11-07T17:49:35.160+01:00Ruse<p> <span style="font-size: large;"><b style="text-align: justify;"><i><span style="line-height: 115%;"><a href="https://www.librairie-gallimard.com/livre/9782226449320-ruse-eric-naulleau/" target="_blank">Ruse</a></span></i></b><b style="text-align: justify;"><span style="line-height: 115%;"> d’Éric
NAULLEAU aux Éditions Albin Michel</span></b></span></p>
<p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="line-height: 115%;"><span style="font-size: medium;">Éric NAULLEAU est un critique littéraire français,
chroniqueur sportif, animateur de radio et de télévision, mais aussi éditeur,
traducteur, essayiste, entre autres… Multi casquettes en quelque sorte. <o:p></o:p></span></span></p>
<p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="line-height: 115%;"><span style="font-size: medium;">Alors qu'Éric NALLEAU est régulièrement attaqué
ou malmené sur les réseaux sociaux, notamment sur Twitter, et loin d’être du
genre à me faire un avis sur ces dires, parfois abjectes, j'ai souhaité lire
son roman « <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Ruse</i> ».<o:p></o:p></span></span></p>
<p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="line-height: 115%;"><span style="font-size: medium;">Je tiens à préciser avant toute chose que je ne
parlerai ici que de ce roman, et que les relations personnelles, même si elles
font débats et indisposent nombre de personnes, ne me regardent pas. Et qui
plus est, elles ne sont pas l’objet de cette chronique que je souhaite la plus objective
possible quant au contenu de l’ouvrage.<o:p></o:p></span></span></p>
<p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="line-height: 115%;"><span style="font-size: medium;">Éric NALLEAU ayant <span style="mso-spacerun: yes;"> </span>lui-même été chroniqueur à la base, en
l’occurrence dans « <i style="mso-bidi-font-style: normal;">On n’est pas
couché</i> », l’émission de Laurent RUQUIER, il se positionne ici en « <i style="mso-bidi-font-style: normal;">chroniqué</i> ». Chacun son tour,
dirons-nous !<o:p></o:p></span></span></p>
<p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="line-height: 115%;"><span style="font-size: medium;"></span></span></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><span style="font-size: medium;"><a href="https://www.albin-michel.fr/ruse-9782226449320" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;" target="_blank"><img border="0" data-original-height="572" data-original-width="403" height="320" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjGuKhBzsFtCN5cO-Z72WY2GezqcVLVuanEspthXfP9kk5NEFkZJmaHTtipLbeIYLjwMsEOoxSXxGMZG0UJNj-u72U9ruEPqEjuLROZ18et6O8k4uW5xxqvV2oq-GAA7tQqb0fmF7R3ziM/s320/Couv.JPG" width="225" /></a></span></div><span style="font-size: medium;"><br />Après quelques recherches sur l’auteur, comme je
le fais en général, je lis que Europe 1 révèle que ce roman « <i style="mso-bidi-font-style: normal;">semble avoir été plutôt apprécié de la
critique</i> », c’est déjà un bon point avant de commencer ma lecture. Et
Éric NAULLEAU reconnaît, avec une petite pointe de surprise<span style="mso-spacerun: yes;"> </span>que « <i style="mso-bidi-font-style: normal;">le livre a été très bien reçu</i> » selon ses dires, second bon
point pour moi. <o:p></o:p></span><p></p>
<p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="line-height: 115%;"><span style="font-size: medium;">J’entre dans le vif avec la première question que
je me pose : pourquoi « <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Ruse</i> » ?
D’une part, cela colle à l’histoire, et d’autre part, je découvre que <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Ruse</i> est une des cinq plus importantes
villes de Bulgarie, appelée également Roussé, et précédemment Roustchouk jusqu’en
1878, date à laquelle la Bulgarie a acquis son indépendance. Wikipédia nous
informe à ce propos, entre autres choses, que cette « <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ville a émergé comme un site néolithique du troisième au deuxième
millénaire avant notre ère</i> », c’est dire qu’elle n’a rien de nouveau,
mais qu’elle n’est pour ainsi dire pas (particulièrement) connue du public.<o:p></o:p></span></span></p>
<p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="line-height: 115%;"><span style="font-size: medium;">L’auteur nous fait de bien belles descriptions,
dans de jolies tournures comme « <i style="mso-bidi-font-style: normal;">des
montagnes parlaient d’ailleurs et de pureté dans une langue secrète</i> »,
de cette région du monde. Ou encore « <i style="mso-bidi-font-style: normal;">La
montagne avait pris ses distances, elle viendrait bientôt resserrer son
étreinte minérale autour des humains</i> ».<o:p></o:p></span></span></p>
<p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="line-height: 115%;"><span style="font-size: medium;">Dans ce roman, on y rencontre Deliana qui préfère
jouer les stripteaseuses après avoir cessé ses études. Plus par rentabilité
financière, visiblement. Malgré une scolarité des plus excellentes où elle
« <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ne demeurait dans une classe que
le temps de s’ennuyer avant de bondir sur l’échelon supérieur</i> » et en
parallèle « <i style="mso-bidi-font-style: normal;">faisant un sort à tous
les livres qui lui tombaient sous l’œil</i> », elle coupe court à ses
études où elle excellait pourtant. Deliana est instruite et intelligente,
maniant et maîtrisant autant le bulgare que le français grâce à l’apprentissage
prodigué par « <i style="mso-bidi-font-style: normal;">une vieille voisine</i> »,
mais aussi pour l’avoir largement pratiqué au cours de son union avec son ex-mari
français.<o:p></o:p></span></span></p>
<p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="line-height: 115%;"><span style="font-size: medium;">Après dix années au club de striptease, elle est
mise au rebut, à la retraite parce que les clients n’en pincent que pour les
jeunettes de vingt ans. Deliana n’en est plus là, elle est donc remerciée, mais
elle n’en reste pas là. Elle quitte Sofia pour Ruse… après avoir dérobé quelque
chose qu’elle n’aurait jamais dû détenir.<o:p></o:p></span></span></p>
<p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="line-height: 115%;"><span style="font-size: medium;">Je découvre Serge, je ne peux m’empêcher de
penser à (mon) Serge dans mon roman « <i style="mso-bidi-font-style: normal;"><a href="https://www.thebookedition.com/fr/la-vie-est-parfois-une-surprise-p-373519.html" target="_blank">Lavie est parfois une surprise</a></i> », bien que tous deux n’aient semble-t-il
rien de commun. Le Serge de <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Ruse</i> était
écrivain fantôme, ou comme le dit l’auteur « <i style="mso-bidi-font-style: normal;">nègre de Narcisse</i> » avant de devenir correspondant pour les
Balkans pour un hebdomadaire français et pigiste pour une publication locale. Et,
il est l’ex-mari de Deliana. Alors qu’il croyait ne plus avoir de sentiments
pour son ex-femme, il la suit tout de même dans une fuite éperdue plus par
obligation que par choix pour échapper aux sbires qui les poursuivent. Il
réalise qu’il est autant en danger que peut l’être Deliana : « <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Avant, notre problème, c’était de vivre
ensemble. Maintenant, c’est de ne pas mourir ensemble</i> » !<o:p></o:p></span></span></p>
<p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="line-height: 115%;"><span style="font-size: medium;">Dans le style et le vocabulaire, je crains que ce
roman ne s’ouvre pas à tous, non qu’il ne soit pas agréable à lire, bien au
contraire, mais plus parce qu’il ne peut être à la portée de tous pour en
saisir et apprécier le style véritablement particulier. Il peut donc déranger
certains lecteurs qui de fait pourraient avoir un ressenti négatif, plus par
manque de compréhension tant en termes de mots que de tournures de phrases.<o:p></o:p></span></span></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://www.albin-michel.fr/ruse-9782226449320" style="clear: right; float: right; margin-bottom: 1em; margin-left: 1em;" target="_blank"><img border="0" data-original-height="567" data-original-width="378" height="320" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhMvvCk-t_zVhIB6ka3b7Augnx47dsteXJeJi8XPLU2sLPBqMdK5ppSPjMz_MSST7JGtohV2Ra2AsCoyngnrYvwrsZfmOanWO4QB2U6dbwjwvSKE-9ZlHlE6Bjjj8PmlrzyqLSpVPQBiP0/s320/couv+dos.JPG" width="213" /></a></div><p></p>
<p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="line-height: 115%;"><span style="font-size: medium;">Donc, comme je le disais, la lecture étant moins
aisée qu’avec un roman de Christian SIGNOL, mon auteur préféré pour qui me
connaît, ou de Marc LEVY plus ancré lecture détente, entrer dans <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Ruse</i> est un petit défi, mais en la
matière, rien ne me fait peur.<o:p></o:p></span></span></p>
<p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="line-height: 115%;"><span style="font-size: medium;">Mon
ressenti final :<o:p></o:p></span></span></b></p>
<p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="line-height: 115%;"><span style="font-size: medium;">Sans dévoiler ou spoiler la teneur de l’histoire,
ce qui vous empêcherait de vous jeter à corps perdu dans les pages, j’ai trouvé
que dès le début je me sentais à l’aise dans la lecture. Oui, parfois j’ai dû
faire preuve de réflexion, mais si peu finalement, toujours en ce qui concerne
le style particulier dont je parlais plus haut, mais rien de rébarbatif, c’est
une évidence. Les neurones travaillent un peu plus que la normale, ce qui n’est
pas pour me déplaire.<o:p></o:p></span></span></p>
<p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="line-height: 115%;"><span style="font-size: medium;">J’ai beaucoup apprécié les descriptions des
paysages et des environnements. Là aussi, pour ceux qui me connaissent, c’est
une des qualités que j’aime chez Christian SIGNOL qui excelle sur ce point. Je
ne pouvais donc pas ne pas l’apprécier dans ce roman d’Éric NAULLEAU.<o:p></o:p></span></span></p>
<p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="line-height: 115%;"><span style="font-size: medium;">J’ai trouvé dans <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Ruse</i> un roman passionnant, si, si, n’en déplaise à certains, même
si parfois il faut réfléchir un peu. Après tout, nous avons un cerveau autant
qu’il serve à quelque chose, dixit feu ma maman. J’ai apprécié cette ambiance
parfois glaçante et cette atmosphère particulière, même si je suis moins adepte
de l’environnement que représentent les boîtes de striptease. J’ai également
ressenti de l’affection pour les deux personnages, Serge et Deliana. J’émettrais
juste un petit bémol quant à l’intrigue qui aurait peut-être mérité un peu plus
d'énergie et de force à mon goût, mais cela ne dévalorise pas l’ouvrage pour
autant et ce n’est qu’un ressenti personnel qui ne cadrera peut-être pas avec
ceux des autres lecteurs. J’ai en tout cas passé un excellent moment de lecture
avec ce roman.<o:p></o:p></span></span></p>
<p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="line-height: 115%;"><span style="font-size: medium;">Je vous souhaite une bonne lecture à toutes et à
tous pour vous faire votre propre avis ! <o:p></o:p></span></span></p>
<p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="line-height: 115%;"><span style="font-size: medium;">N’hésitez pas à partager votre ressenti, votre
opinion ou votre sentiment en commentaire, si le cœur vous en dit.<o:p></o:p></span></span></p>
<p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="line-height: 115%;"><span style="font-size: medium;"><br />Quatrième
de couverture :<o:p></o:p></span></span></b></p>
<p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="line-height: 115%;"><span style="font-size: medium;"><i style="mso-bidi-font-style: normal;"></i></span></span></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><span style="font-size: medium;"><i style="mso-bidi-font-style: normal;"><a href="https://www.albin-michel.fr/ruse-9782226449320" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;" target="_blank"><img border="0" data-original-height="320" data-original-width="257" height="200" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEg2pzak5hOz8XFrQ4RuersuHAm_R7sSRH6cVF4quApzLVxXYy_BShyphenhyphenXLJ8b453Ihg2MfkqPTuyCEqxKGRiMe66BdJKRoGwp3U13FHdT6VpghD8_Eg9yuen0RCajYKiWj2csq2BhSrDmcQE/w161-h200/Auteur.JPG" width="161" /></a></i></span></div><span style="font-size: large;">« </span><span style="font-size: medium;"><i style="mso-bidi-font-style: normal;">En
retrait de la route surgit un motel, seule bâtisse visible à des kilomètres à
la ronde. Des tubes au néon d'un rouge vibrant soulignaient en plein jour le
contour de ses fenêtres, comme une femme qui trainerait encore dans sa robe de
soirée un lendemain de fête. Tout disparut avec le reste du paysage. Le soleil
cognait toujours plus fort à la vire. Deliana tira le rideau comme une
dérisoire protection contre la chaleur et les complots ourdis au plus hait des
cieux vierges de tout nuage</i> ».<o:p></o:p></span><p></p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><b><span style="line-height: 115%;"><span style="font-size: medium;"><br /></span></span></b></p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><b><span style="line-height: 115%;"><span style="font-size: medium;">Quelques
phrases relevées au cours de ma lecture :</span></span></b></p>
<p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="line-height: 115%;"><span style="font-size: medium;">- « <i style="mso-bidi-font-style: normal;">La
dureté de son regard s’atténuait parfois d’une fugitive expression de
bienveillance… </i>»<o:p></o:p></span></span></p>
<p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="line-height: 115%;"><span style="font-size: medium;">- « <i style="mso-bidi-font-style: normal;">À
la manière d’un homme qui s’éclaircit la gorge avant de prendre la parole et
décide pour finir de retourner au silence, une enseigne clignota brièvement,
puis s’éteignit de nouveau.</i> »<o:p></o:p></span></span></p>
<p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="line-height: 115%;"><span style="font-size: medium;">- « <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Rien
de plus simple pour rompre le charme que d’emprunter un autre chemin…</i> »<o:p></o:p></span></span></p>
<p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="line-height: 115%;"><span style="font-size: medium;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">« Je
me demande toujours si elles croient un peu à ce qu’elles racontent, toutes ces
chanteuses dont le prénom finit en « a ». Ou si c’est comme dire
bonjour et bonsoir pour le reste de l’humanité.</i> »<o:p></o:p></span></span></p>
<p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="line-height: 115%;"><span style="font-size: medium;">- « <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Le
cri d’amour se fit chuchotement, le chuchotement expira dans un murmure…</i> »<o:p></o:p></span></span></p>
<p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="line-height: 115%;"><span style="font-size: medium;">- « <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Kornelia
répétait souvent qu’il en allait des romances comme des œufs à la coque,
passées trois minutes de cuisson dans l’eau de rose, elles perdaient leur
saveur.</i> »<o:p></o:p></span></span></p>
<p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="line-height: 115%;"><span style="font-size: medium;">- « <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Il
s’en fallait d’une légère inclinaison du buste pour que les unes contemplent
leur passé et les autres leur avenir.</i> »<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><o:p></o:p></i></span></span></p>
<p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="line-height: 115%;"><span style="font-size: medium;">- « <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Un
peu de magie perdue ne se retrouvait que dans certains livres, surtout des
recueils de poésie.</i> »<o:p></o:p></span></span></p>
<p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="line-height: 115%;"><span style="font-size: medium;">- « <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Renoncer
à parler et choisir de se taire chaque fois que possible contribuait du moins
selon lui à ralentir l’usure des mots, à retarder l’échéance.</i> »<o:p></o:p></span></span></p>
<p class="MsoNormal"><span style="line-height: 115%;"><span style="font-size: medium;">Titre :
Ruse<o:p></o:p></span></span></p>
<p class="MsoNormal"><span style="line-height: 115%;"><span style="font-size: medium;">Auteur :
Éric NAULLEAU<o:p></o:p></span></span></p>
<p class="MsoNormal"><span style="line-height: 115%;"><span style="font-size: medium;">ISBN : 978-2226449320 <o:p></o:p></span></span></p>
<p class="MsoNormal"><span style="font-size: medium;"><span style="line-height: 115%;">Éditions
Albin Michel : </span><a href="https://www.albin-michel.fr/ruse-9782226449320" target="_blank"><span style="line-height: 115%;">https://www.albin-michel.fr/ruse-9782226449320</span></a><span style="line-height: 115%;"><o:p></o:p></span></span></p>
<p class="MsoNormal"><span style="font-size: medium;"><span style="line-height: 115%;">Amazon format
Kindle, 12,99 € : </span><a href="https://www.amazon.fr/dp/B085HSW8P6/ref=dp-kindle-redirect?_encoding=UTF8&btkr=1" target="_blank"><span style="line-height: 115%;">Ruse Format Kindle</span></a><span style="line-height: 115%;"><o:p></o:p></span></span></p>
<p class="MsoNormal"><span style="font-size: medium;"><span style="line-height: 115%;">Amazon
format broché, 208 pages, 18,00 € : </span><a href="https://www.amazon.fr/Ruse-Eric-Naulleau/dp/2226449329/ref=tmm_pap_swatch_0?_encoding=UTF8&qid=&sr=" target="_blank"><span style="line-height: 115%;">Ruse Format papier</span></a><span style="line-height: 115%;"><o:p></o:p></span></span></p>
<p class="MsoNormal"><i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="line-height: 115%;"><o:p><span style="font-size: medium;"> </span></o:p></span></i></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-size: medium;"><a href="https://www.albin-michel.fr/ruse-9782226449320" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;" target="_blank"><img border="0" data-original-height="378" data-original-width="751" height="201" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEh6zuSwEcqnpNo7ECcxWulffZEdL-YwCtXcdtbtYS3ObA0t0EYt9GWwXsZ08QcbJeMED1yNkg_2MPPWBH-DrMz9H3Keq0-ddPuIeeW6GyhinRo0UI-lpwSXbjHp9cwH8l6HrBqbhY9tBaE/w400-h201/Titre.jpg" width="400" /></a></span></i></div><i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-size: medium;"><br /></span></i><p></p>Les chroniques de Mariehttp://www.blogger.com/profile/09606654020878490412noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-3555274088734712828.post-22280718140669866752019-08-19T21:19:00.001+02:002019-08-19T21:38:35.891+02:00On ne voyait que le bonheur <b>"On ne voyait que le bonheur" de Grégoire Delacourt </b><br />
<br />
<div style="text-align: justify;">
C'est avec ce titre que j'ai découvert Grégoire Delacourt, et je ne le regrette pas.
Dans cet ouvrage, nous allons à la rencontre de l'improbable, de l'inimaginable, mais surtout de l'inacceptable. </div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
Après un début qui me semblait se traîner un peu en longueur, j'ai tenu grâce au style de l'auteur, mais aussi parce qu'il est rare que j’abandonne un livre. Le fait est, qu'après plus de 35 ans de lecture, je n'en ai abandonné qu'un seul, que j'ai retenté de lire plusieurs fois avec toujours le même résultat. </div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
Je disais donc que ce qui m'a fait tenir, c'est le style de l'auteur qui a su m'engloutir dans les mots, les phrases pleines de sens qui parfois vous pousse à la réflexion : « La douleur, c'est comme un corps étranger. On finit par fabriquer une coque, pour ne plus la sentir. », « On n’échappe pas à la souffrance des autres, elle vous saute au visage. Elle a besoin de vous. Malgré vous. » </div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
Antoine porte les stigmates et les souffrances de son enfance, de son passé, celui dont on n'imagine pas à quel point les douleurs sourdes subies demeurent indélébiles pour un jour, souvent de manière inattendue, faire éclater leur trop-plein. </div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
L'enfance laisse des traces à perpétuité. C'est par elle que nous sommes tous amenés à nous construire, tout au moins au début de notre existence. C'est elle qui nous donne les premières bases, pas toujours les meilleures, de notre vie. Ce vécu s'incruste sur nos murs intérieurs, que l'on aura beau tenter de recouvrir, mais qui, même avec le temps ne sera jamais vraiment effacé pour un jour refaire surface.<br />
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhi6fnQPbFgnmHeZXWI9TSSASJfjLzU0CmkhVLPjl11Si6r6Q7Z9UPfqMXb4PtiO9O4RCYSuljLJWX44dg5yOhePw_b2I_1Q3IGgC_zSFyyq3yaoA3ySsJRhIT3-2UZ6ccJ9jxR7Lgc0_0/s1600/Screenshot_20190819-211424_Samsung+Internet.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="1537" data-original-width="946" height="320" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhi6fnQPbFgnmHeZXWI9TSSASJfjLzU0CmkhVLPjl11Si6r6Q7Z9UPfqMXb4PtiO9O4RCYSuljLJWX44dg5yOhePw_b2I_1Q3IGgC_zSFyyq3yaoA3ySsJRhIT3-2UZ6ccJ9jxR7Lgc0_0/s320/Screenshot_20190819-211424_Samsung+Internet.jpg" width="196" /></a></div>
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
Une petite sœur disparue, la jumelle d'Anna, une mère en désertion, un père qui ne sait pas aimer ou n'a pas appris à le montrer, puis la descente après un bonheur qu’il croyait acquis, sa femme qui le quitte, un licenciement pour couronner le tout.
</div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
Jusqu'où peut- on accepter les « brutalités » de l'existence sans éclater, sans perdre pied, sans « péter les plombs » ? Est-on capable, ne serait-ce que de percevoir le moment où les limites sont atteintes ? De nous imaginer dans la possibilité de commettre un acte irréparable ? À quel moment en arrive-t-on à faire le constat de notre existence ? </div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
Antoine fait ce constat, triste, amer, douloureux, trop souvent en retrait, à ne jamais oser, à n'avoir jamais souhaité ni voulu ressembler à ce père effacé, presque lâche, plus homme à l'extérieur dans sa vie professionnelle que père pour ses enfants, époux, au sein de son foyer.
Antoine n'a jamais désiré être absent pour ses enfants, pour ne surtout pas reproduire l'abandon inguérissable de sa mère. </div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
Et puis toute la suite, tout le reste, tout intérioriser, « Le grand mot […] l'intériorisation, le refus de laisser jaillir ses émotions, la peur de perdre le contrôle. » L'amour et le besoin d'être aimé, mais aussi le cruel manque d'amour dès l'enfance, tragique, amertume, drame, silence et non-dit. </div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
Entre passages forts et phrases puissantes, d'autres passages un peu longs (à mon goût), mais rédigés de manière à vous emballer malgré tout, malgré vous. </div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
Outre l'aspect tragique, ce roman poussé, ou du moins incite, à la réflexion, à l'introspection, à s'interroger sur ce que l'avenir peut nous réserver et comment nous serons en mesure de l'aborder sans perdre pied en cas d’aléas difficiles, parce que personne, non, personne n'est à l'abri des caprices du destin. </div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
Ce roman m'a beaucoup touchée, surtout sur la troisième partie, en faisant passer mes émotions par toutes les couleurs aussi bien dans la gaîté que dans la peine, dans la colère ou la tristesse.
</div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
<b>Quelques phrases relevées au cours de ma lecture : </b></div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
- « Il ne reste de ceux qui nous manquent que le manque justement que nous avons d'eux. » </div>
<div style="text-align: justify;">
- « Il faut être deux blessés pour se rencontrer […] être deux errances, deux âmes perdues. Si l'une est forte, elle écrase l'autre, elle finit par l'achever. » </div>
<div style="text-align: justify;">
- « Il n'y a pas d'amour là où il y a la colère. » </div>
<div style="text-align: justify;">
- « Les mots, il faut qu’ils sortent. Il faut les dégueuler si on veut guérir. » </div>
<div style="text-align: justify;">
- « Le bonheur, on ne le sait qu'après ; on ne sait jamais qu'on est en train de le vivre, contrairement à la douleur. » </div>
<div style="text-align: justify;">
- « La connerie, ça ne se soigne pas d'une réplique. D'ailleurs, ça ne se soigne pas. » </div>
<div style="text-align: justify;">
- « Le voyage compte plus que la destination. » </div>
<br />
<b>Titre : </b>On ne voyait que le bonheur<br />
<br />
<b>Auteur :</b> Grégoire Delacourt<br />
<br />
<b>Éditions :</b> Le livre de poche<br />
<br />
<b>ISBN : </b>9782253182863Les chroniques de Mariehttp://www.blogger.com/profile/09606654020878490412noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-3555274088734712828.post-54352499841794259632019-08-01T21:25:00.000+02:002019-08-19T21:37:59.505+02:00Les vieilles<b>Les vieilles de Pascale Gautier</b><br />
<br />
<div style="text-align: justify;">
J’ai été particulièrement séduite par la couverture, le titre et la quatrième de couverture qui promettaient fraîcheur et humour, moi qui voue en général une véritable tendresse pour les personnes âgées. </div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
Je pensais alors trouver dans cet ouvrage, un bon moment de lecture. Ce ne fut le cas que concernant la première partie. </div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
J’ai trouvé l’aspect trop caricatural des personnages mettant à mal l’humour voulu, la fraîcheur annoncée, l’impertinence attendue. </div>
<div style="text-align: justify;">
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
</div>
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
L’empathie y est au début, puis s'étiole au fil des pages. Ces mamies qui promettaient un roman frais sont si caricaturées qu’elles en perdent toute crédibilité. C'est dommage, car question drôleries, « les vieux » ne sont souvent pas en reste. Nombreux sont ceux qui loin d'être grabataires souvent savent vous embarquer dans des situations vraiment cocasses, presque à mourir de rire. Si, si, je vous l'assure, j'en connais d'ailleurs quelques un(e)s !<br />
<br />
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEj79jsaw-xSiI8vKdwvzBKcN-Hzu68wIhw457fgXRbVARz9TiU_jAqbEDJRZpHq43fKOj1zTIPXRVjdVg_FsA6hY_EMpleZC2D29xh4XyYCRywlD6j9jY4U2HzjORIDRVZgKwkvGO3kKno/s1600/Screenshot_20190819-212051_Samsung+Internet.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em; text-align: justify;"><img border="0" data-original-height="1255" data-original-width="793" height="320" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEj79jsaw-xSiI8vKdwvzBKcN-Hzu68wIhw457fgXRbVARz9TiU_jAqbEDJRZpHq43fKOj1zTIPXRVjdVg_FsA6hY_EMpleZC2D29xh4XyYCRywlD6j9jY4U2HzjORIDRVZgKwkvGO3kKno/s320/Screenshot_20190819-212051_Samsung+Internet.jpg" width="202" /></a></div>
</div>
<div style="text-align: justify;">
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
</div>
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
L’astéroïde qui annoncerait la fin du monde est quelque peu tiré par les cheveux, drôle d’idée pour créer la panique. Et puis, il y a également toutes ces mamies qui se suicident en se jetant dans le vide du haut d'un immeuble et qui restent sur le trottoir parce qu'à cause de l'astéroïde « l'apocalypse est pour demain et ramasser les vieilles n'intéresse plus personne », difficile d'acter une telle éventualité, même au second degré. </div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
Au final, je n’ai pas été emballée plus que cela ! Ravie au début, puis la déception prenant place doucement n'a fait que se confirmer pour ensuite me laisser un goût amer parce que je n'ai pas du tout cette image des personnes âgées. J'en connais des drôles, des caustiques, des impertinentes, des râleuses, des agaçantes, des sages discrètes et des moins sages affrontées, des timides qui n'osent pas et des frivoles qui osent tout. </div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
À lire tout de même parce que chacun perçoit les choses à sa manière avec son ressenti propre et que ce qui déplaît aux uns peut plaire aux autres, et inversement.
</div>
<br />
<b>Titre : </b>les vieilles<br />
<br />
<b>Auteur :</b> Pascale Gautier<br />
<br />
<b>Éditions : </b>Folio<br />
<br />
<b>ISBN :</b> 9782070443338Les chroniques de Mariehttp://www.blogger.com/profile/09606654020878490412noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-3555274088734712828.post-10946687916514788122019-07-15T21:29:00.000+02:002019-08-19T21:31:41.691+02:00Le chef de rang désenchanté<b>Le chef de rang désenchanté de James Barbier</b><br />
<br />
<div style="text-align: justify;">
Bien que j'aie pu ressentir un certain attachement pour Jason, le personnage principal de ce roman, j'ai malgré tout eu un peu de mal à m'attacher vraiment à l'histoire dont le thème met en lumière le harcèlement au travail. </div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
De page en page, nous sommes face aux plaintes et aux complaintes du jeune homme. Il entasse les griefs qu'il a envers ses collègues ainsi que contre ses chefs en général et sa hiérarchie en particulier. Néanmoins, sur une grande partie de l'ouvrage, on ne peut s'empêcher de penser que Jason n'agit pas pour que sa vie change. Pourtant, au cœur de la vingtaine tout est possible encore pour lui. </div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
Les griefs sont nombreux, parfois pesants et répétitifs, allant des horaires atypiques à la polyvalence de son poste, sans jamais aucune contrepartie pas même financière, en passant par le comportement même des clients qui n'hésitent pas à être tour à tour méprisants et arrogants. </div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
Jason peste chaque jour, car il souhaite évoluer au sein de l'établissement, estime être bien placé, sinon mieux, que les autres pour obtenir une évolution de poste, la promotion dont il rêve. Alors, quand le poste qu'il convoite tant est attribué à deux de ses collègues, c'est la colère, la déprime pour Jason avec la furieuse sensation d'injustice qu'il va ressasser de manière continue.<br />
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjsGqAeHy7aQ_y6uBVPhM6CnvdFcqwIYrpGEQyvXBCh0-UtnXDOdKUu3yo3KVIAMGJCQxkygTaa2YwAXzy2I1581zh8nULHsHqpyTIlS3fRLcy0zizuV213CrYdetCX6oGLmQVZ1G3H1ik/s1600/Screenshot_20190819-212654_Samsung+Internet.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="1355" data-original-width="942" height="320" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjsGqAeHy7aQ_y6uBVPhM6CnvdFcqwIYrpGEQyvXBCh0-UtnXDOdKUu3yo3KVIAMGJCQxkygTaa2YwAXzy2I1581zh8nULHsHqpyTIlS3fRLcy0zizuV213CrYdetCX6oGLmQVZ1G3H1ik/s320/Screenshot_20190819-212654_Samsung+Internet.jpg" width="222" /></a></div>
</div>
<div style="text-align: justify;">
Un peu d'action aurait été nécessaire, et même souhaitable, pour rendre la lecture plus emballante. </div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
Cela dit, au fil des pages, quelques impressions peuvent donner comme des alertes pour nous pousser nous-mêmes à une introspection concernant notre propre vie, nos désirs profonds professionnels et personnels, nos choix, les personnes qui oscillent autour de nous et qui ne sont pas toujours de bon augure ni même sincères. </div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
Suite à l'attribution de ces postes à des personnes dont Jason estime qu'elles n'ont ni le potentiel ni les capacités et, qui plus est, ont moins d'ancienneté que lui, il le prend, ou du moins le perçoit comme une atteinte à son professionnalisme, un affront émanant de sa hiérarchie, une trahison personnelle de la part de ses collègues. </div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
La déception est grande, la désillusion insupportable, ce qui amènera à rendre invivable l'ambiance au quotidien au sein de l'hôtel, et poussera Jason à ressentir une certaine haine sous couvert d'une réelle envie de vengeance surgissant du fond de sa profonde colère.</div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
La fin n'était pas du tout attendue et m'a quelque peu surprise, agréablement au demeurant. </div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
Au final, à part quelques bémols, Jason est attachant, par moment agaçant, car parfois on aurait vraiment envie de le secouer pour qu'il réagisse. </div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
L'ensemble est agréable à lire, avec quelques pauses, pour ne pas se laisser gagner par la lassitude, car c'est tout de même bien écrit, n'enlevons pas ce bon point à l'auteur. </div>
<br />
<b>Titre : </b>Le chef de rang désenchanté<br />
<br />
<b>Auteur : </b>James Barbier<br />
<br />
<b>Éditions : </b>Verone Editions<br />
<br />
<b>ISBN :</b> 9791028405052<br />
<br />
<b>Prix :</b> 19,50 €Les chroniques de Mariehttp://www.blogger.com/profile/09606654020878490412noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-3555274088734712828.post-16844314582960408942018-05-24T13:46:00.000+02:002018-05-24T14:23:08.686+02:00Celle qui s’enfuyait - Philippe Lafitte<span style="font-family: "calibri";"><span style="font-size: large;"><a href="https://www.amazon.fr/Celle-qui-senfuyait-Litt%C3%A9rature-Fran%C3%A7aise-ebook/dp/B079ZZG2TH/ref=as_sl_pc_qf_sp_asin_til?tag=mabachen-21&linkCode=w00&linkId=614045c6348ed45becaa8e8527a74d14&creativeASIN=B079ZZG2TH" target="_blank">Celle qui s’enfuyait</a>, <a href="http://philippe-lafitte.iggybook.com/fr/" target="_blank">Philippe Lafitte </a></span></span><br />
<span style="font-family: "calibri"; font-size: x-small;"><br /></span>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "calibri"; font-size: large;">Par manque de temps, j'ai quelque peu laissé de côté la publication de mes chroniques. Je reviens avec le nouveau roman <span style="background-color: transparent; color: black; display: inline; float: none; font-family: "calibri"; font-size: 16px; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; letter-spacing: normal; text-align: justify; text-decoration: none; text-indent: 0px; text-transform: none; white-space: normal; word-spacing: 0px;">« </span><a href="https://www.amazon.fr/Celle-qui-senfuyait-Litt%C3%A9rature-Fran%C3%A7aise-ebook/dp/B079ZZG2TH/ref=as_sl_pc_qf_sp_asin_til?tag=mabachen-21&linkCode=w00&linkId=614045c6348ed45becaa8e8527a74d14&creativeASIN=B079ZZG2TH" target="_blank">Celle qui s'enfuyait</a> <span style="background-color: transparent; color: black; display: inline; float: none; font-family: "calibri"; font-size: 16px; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; letter-spacing: normal; text-align: justify; text-decoration: none; text-indent: 0px; text-transform: none; white-space: normal; word-spacing: 0px;">»</span> de Philippe Lafitte. </span></div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-size: large;"><span style="font-family: "calibri";">Fuir sans jamais se retourner, mais
fuir sans jamais oublier, parce que le danger peut-être tapi, là, dans l’ombre
pour surgir à tout instant. Parce que se cacher semble dérisoire lorsqu’on se
sait menacé. Et parce que c’est parfois le seul moyen d’échapper au monde pour
trouver un semblant de calme et de tranquillité.</span></span></div>
<span style="font-family: calibri; font-size: large;"><br /></span>
<div style="margin: 0px 0px 10.66px; text-align: justify;">
<span style="font-family: "calibri"; font-size: large;">En quittant les États-Unis pour
s’installer dans une province isolée de France, elle savait qu’elle ne serait
jamais à l’abri. On n'est à l’abri nulle part lorsqu’on craint pour sa vie. Et
Phyllis le sait mieux que quiconque. Les décennies qui séparent sa jeunesse de
l’instant présent n'ont fait que confirmer cet état de fait. La méfiance et la
prudence sont devenues ses meilleures alliées en prenant possession de l’espace
et du temps. Elles ont accaparé le quotidien, toujours en avant à la manière d’un
bouclier.</span></div>
<div style="margin: 0px 0px 10.66px; text-align: justify;">
<span style="font-family: "calibri"; font-size: large;">Phyllis plonge dans l’écriture
pour échapper au passé et se sauver de la peur, mais très vite elle atteint le
succès. Comment rester cachée et se préserver dans ces conditions ? Le
succès et l’isolement feront-ils bon ménage ? Lui permettront-ils de
conserver l’apaisement face à ses angoisses ?</span></div>
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://www.amazon.fr/Celle-qui-senfuyait-Litt%C3%A9rature-Fran%C3%A7aise-ebook/dp/B079ZZG2TH/ref=as_sl_pc_qf_sp_asin_til?tag=mabachen-21&linkCode=w00&linkId=614045c6348ed45becaa8e8527a74d14&creativeASIN=B079ZZG2TH" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;" target="_blank"><img alt="https://www.amazon.fr/Celle-qui-senfuyait-Litt%C3%A9rature-Fran%C3%A7aise-ebook/dp/B079ZZG2TH/ref=as_sl_pc_qf_sp_asin_til?tag=mabachen-21&linkCode=w00&linkId=614045c6348ed45becaa8e8527a74d14&creativeASIN=B079ZZG2TH" border="0" data-original-height="549" data-original-width="375" height="320" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEh9YiWMAd75d2uoZWj2H0M50_wJnYPRZ1GrjznjI76O3-Y6K7zyrfY7DDiPDPC6V1k1f6gq1HHjsWEAlaCdemh8SIvKhIQksx5IgP9CmW21j9bTisiox725w0mO7XNAroqKXUE0IxHldI8/s320/Couverture.JPG" width="217" /></a></div>
<div style="margin: 0px 0px 10.66px; text-align: justify;">
<span style="font-family: "calibri"; font-size: large;">Le passé nous rattrape toujours,
même si l’on prend toutes les précautions pour le maintenir à distance. Le
passé de cette femme avec toute la violence qu’il contient porte les traces d’une
culpabilité qui la ronge. Une culpabilité qu’elle tente d’éloigner dans cette
vie qu’elle s’est construite avec des règles strictes. Phyllis retrouve un
semblant de paix dans l’écriture de ses polars, certes, mais qu’en est-il de la
vraie vie ?</span><br />
<br />
<span style="font-family: "calibri"; font-size: large;">Ce roman de Philippe Lafitte m’a
transportée. J’ai eu l’impression d’être partout avec Phyllis, à son bureau
lorsqu’elle écrit, sur le bord des routes et des chemins quand elle part courir
au petit matin, dans ses pas lorsqu’elle porte son chien abattu par une balle
venue de nulle part...</span></div>
<div style="margin: 0px 0px 10.66px; text-align: justify;">
<span style="font-family: "calibri"; font-size: large;">Dans ce roman, l’auteur fait des
retours sur le passé permettant de comprendre les raisons qui ont poussé le
personnage à s’imposer cet exil et la solitude indispensable à sa survie.</span><span style="font-family: "calibri";"><br /></span></div>
<div style="margin: 0px 0px 10.66px; text-align: justify;">
<span style="font-family: "calibri"; font-size: large;">Comme à son habitude, l'auteur nous
gratifie de sa plume fluide et tellement agréable. Philippe Lafitte choisit ses
mots pour être en adéquation avec chaque situation où rien n'est laissé au
hasard !</span></div>
<div style="margin: 0px 0px 10.66px; text-align: justify;">
<span style="font-family: "calibri"; font-size: large;">Après « <a href="http://mariebarrillon.blogspot.fr/2011/10/vies-dandy.html" target="_blank">Vies d'Andy</a> », « <a href="http://mariebarrillon.blogspot.fr/2011/09/etranger-au-paradis.html" target="_blank">Étranger au paradis</a> » ou encore « <a href="http://mariebarrillon.blogspot.fr/2015/05/belleville-shanghai-express-philippe.html" target="_blank">Belleville Shanghai express</a> », <span style="background-color: transparent; color: black; display: inline; float: none; font-family: "calibri"; font-size: 16px; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; letter-spacing: normal; text-align: justify; text-decoration: none; text-indent: 0px; text-transform: none; white-space: normal; word-spacing: 0px;">« </span><a href="https://www.amazon.fr/Celle-qui-senfuyait-Litt%C3%A9rature-Fran%C3%A7aise-ebook/dp/B079ZZG2TH/ref=as_sl_pc_qf_sp_asin_til?tag=mabachen-21&linkCode=w00&linkId=614045c6348ed45becaa8e8527a74d14&creativeASIN=B079ZZG2TH" target="_blank">Celle qui s’enfuyait</a> <span style="background-color: transparent; color: black; display: inline; float: none; font-family: "calibri"; font-size: 16px; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; letter-spacing: normal; text-align: justify; text-decoration: none; text-indent: 0px; text-transform: none; white-space: normal; word-spacing: 0px;">»</span> est assurément<a href="https://www.blogger.com/null" name="_GoBack"></a> un roman à ne pas manquer !</span></div>
<div style="margin: 0px 0px 10.66px; text-align: justify;">
<span style="font-family: "calibri"; font-size: large;"> MB</span></div>
<div style="margin: 0px 0px 10.66px; text-align: justify;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "calibri"; font-size: large;">Informations sur le livre : </span></b></div>
<div style="margin: 0px 0px 10.66px; text-align: justify;">
<span style="font-family: "calibri";"><span style="font-size: large;"><b style="mso-bidi-font-weight: normal;">Titre :</b> <a href="https://www.amazon.fr/Celle-qui-senfuyait-Litt%C3%A9rature-Fran%C3%A7aise-ebook/dp/B079ZZG2TH/ref=as_sl_pc_qf_sp_asin_til?tag=mabachen-21&linkCode=w00&linkId=614045c6348ed45becaa8e8527a74d14&creativeASIN=B079ZZG2TH" target="_blank">Celle qui s’enfuyait</a></span></span></div>
<div style="margin: 0px 0px 10.66px; text-align: justify;">
<span style="font-family: "calibri";"><span style="font-size: large;"><b style="mso-bidi-font-weight: normal;">Auteur :</b> <a href="http://philippe-lafitte.iggybook.com/fr/" target="_blank">Philippe Lafitte</a></span></span></div>
<div style="margin: 0px 0px 10.66px; text-align: justify;">
<span style="font-family: "calibri";"><span style="font-size: large;"><b style="mso-bidi-font-weight: normal;">Editions :</b> <a href="http://www.grasset.fr/philippe-lafitte-paris-17eme-librairie-de-paris-18h00" target="_blank">Grasset</a></span></span></div>
<div style="margin: 0px 0px 10.66px; text-align: justify;">
<span style="font-family: "calibri";"><span style="font-size: large;"><b style="mso-bidi-font-weight: normal;">ISBN :</b> 9782246815563</span></span></div>
<div style="margin: 0px 0px 10.66px; text-align: justify;">
<iframe frameborder="0" marginheight="0" marginwidth="0" scrolling="no" src="//ws-eu.amazon-adsystem.com/widgets/q?ServiceVersion=20070822&OneJS=1&Operation=GetAdHtml&MarketPlace=FR&source=ac&ref=qf_sp_asin_til&ad_type=product_link&tracking_id=mabachen-21&marketplace=amazon&region=FR&placement=B079ZZG2TH&asins=B079ZZG2TH&linkId=614045c6348ed45becaa8e8527a74d14&show_border=true&link_opens_in_new_window=true&price_color=333333&title_color=0066c0&bg_color=ffffff" style="height: 240px; width: 120px;">
</iframe></div>
Les chroniques de Mariehttp://www.blogger.com/profile/09606654020878490412noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-3555274088734712828.post-61846112553142101022018-05-19T14:00:00.000+02:002018-06-26T15:01:34.628+02:00La douleur - Marguerite Duras<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: Verdana, sans-serif;"><a href="https://www.amazon.fr/Douleur-Marguerite-Duras/dp/2070387046/ref=as_sl_pc_qf_sp_asin_til?tag=mabachen-21&linkCode=w00&linkId=776859d159cf1b390c9ea71213903826&creativeASIN=2070387046" target="_blank">La douleur</a> - Marguerite Duras</span><br />
<span style="font-family: Verdana, sans-serif;"></span><br />
<span style="font-family: Verdana, sans-serif;">Parce que l’attente est parfois insoutenable, elle l’est d’autant plus en période de guerre !</span><br />
<span style="font-family: Verdana, sans-serif;">Dans « <a href="https://www.amazon.fr/Douleur-Marguerite-Duras/dp/2070387046/ref=as_sl_pc_qf_sp_asin_til?tag=mabachen-21&linkCode=w00&linkId=776859d159cf1b390c9ea71213903826&creativeASIN=2070387046" target="_blank">La douleur</a> », nous rencontrons Marguerite Duras déchirée entre l’insoutenable attente du retour de Robert L, son mari, déporté au camp de concentration de Buchenwald, puis à celui de Dachau, et l’angoisse qu’il ne revienne jamais.</span></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: Verdana, sans-serif;"></span><br />
<span style="font-family: Verdana, sans-serif;">Au début de l’ouvrage, Marguerite Duras précise qu’elle a retrouvé son journal dont elle dit : <i>« Je n’ai aucun souvenir de l’avoir écrit. Je sais que je l’ai fait, que c’est moi qui l’ai écrit, je reconnais mon écriture et le détail de ce que je raconte […] Quand l’aurais-je écrit, en quelle année, à quelles heures du jour, dans quelle maison ? Je ne sais plus rien. »</i></span></div>
<div style="text-align: justify;">
<i></i><span style="font-family: Verdana, sans-serif;"></span><br />
<span style="font-family: Verdana, sans-serif;">Dans cette narration, elle met au jour la peur, l’angoisse et les pénibles souffrances qui furent les siennes et qui l’ont accompagnée durant cette traversée tragique que fut la Seconde Guerre mondiale. Soutenue quotidiennement par son grand ami D, pendant et après la guerre, durant l’attente plus pénible et douloureuse chaque jour passant, puis au retour de Robert avec son lot de désillusions, de blessures et d’épreuves non moins douloureuses à venir.</span></div>
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://www.amazon.fr/Douleur-Marguerite-Duras/dp/2070387046/ref=as_sl_pc_qf_sp_asin_til?tag=mabachen-21&linkCode=w00&linkId=776859d159cf1b390c9ea71213903826&creativeASIN=2070387046" style="clear: right; float: right; margin-bottom: 1em; margin-left: 1em;" target="_blank"><span style="font-family: Verdana, sans-serif;"><img border="0" data-original-height="500" data-original-width="304" height="320" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEh5rH34Iauh7uh6wv4Vz59mOZf_2kc_cwG83WtPq3ml7lQyv4KK5GXWFz57P8e14z1vR2NZ9evFoO3TUlve7ripMQFW2yHAIsdzBN_YN1z6RDqDOmyPotH6v_K_JzjcqXrZ5L3Xkm_odXs/s320/Couv.jpg" width="194" /></span></a></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: Verdana, sans-serif;"></span><br />
<span style="font-family: Verdana, sans-serif;">Parce que de Dachau, Robert reviendra, profondément blessé, insoutenablement amaigri, terriblement affaibli, où toute la beauté du corps, et peut-être même celle de l’âme, semble avoir fondue </span></div>
<span style="font-family: Verdana, sans-serif;">avec les muscles et le reste.</span><br />
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: Verdana, sans-serif;"></span><br />
<span style="font-family: Verdana, sans-serif;">Marguerite va s’évertuer à le soigner autant que possible, avec toute la force qu’il lui reste. Mais, la guerre, l’attente et la souffrance de chacun auront eu raison de leur couple. Ils ne sont plus ceux qu’ils étaient l’un pour l’autre. On dit que la guerre change un homme, il n’y a pas plus vrai, néanmoins elle ne change pas que cela, en réalité. Elle change tout ! Cette guerre, comme tant d’autres, aura tué des millions de personnes, anéanties de millions de vies, mais elle aura aussi brisé maintes amours, y compris celui de Marguerite et Robert, avant même de briser leur union engendrant de multiples traumatismes, et pas seulement physiques.</span></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: Verdana, sans-serif;"></span><br />
<span style="font-family: Verdana, sans-serif;">Ce journal est le cri d’une mémoire qu’elle a [peut-être] délibérément tenté d’oublier. Mais, peut-on vraiment oublier ? Non ! Retrouver ce journal quarante ans après avait sûrement une raison d’être. Rappeler, si tant est que ce soit nécessaire, que personne ne sort indemne d’une guerre, ni ceux qui partent, ni ceux qui restent !</span></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: Verdana, sans-serif;"></span><br />
<span style="font-family: Verdana, sans-serif;">« <a href="https://www.amazon.fr/Douleur-Marguerite-Duras/dp/2070387046/ref=as_sl_pc_qf_sp_asin_til?tag=mabachen-21&linkCode=w00&linkId=776859d159cf1b390c9ea71213903826&creativeASIN=2070387046" target="_blank">La douleur</a> », vous traverse les entrailles dans un récit poignant qui enserre le cœur en malmenant vos émotions en découvrant l’effrayant et long calvaire relaté avec des mots sans simagrées, qui vont à l’essentiel, dans un condensé brut sans aucune fioriture, mais avec une intensité foudroyante !</span><br />
<span style="font-family: Verdana, sans-serif;">J’ai longtemps hésité à lire cet ouvrage, et finalement, je constate que j’aurais dû le lire depuis longtemps !</span></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: Verdana, sans-serif;"></span><br />
<span style="font-family: Verdana, sans-serif;">MB</span></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: Verdana, sans-serif;"></span><br />
<b><u><span style="font-family: Verdana, sans-serif;">Informations sur le livre :</span></u></b></div>
<div style="text-align: justify;">
<b></b><u></u><span style="font-family: Verdana, sans-serif;"></span><br />
<span style="font-family: Verdana, sans-serif;"><b>Titre :</b> <a href="https://www.amazon.fr/Douleur-Marguerite-Duras/dp/2070387046/ref=as_sl_pc_qf_sp_asin_til?tag=mabachen-21&linkCode=w00&linkId=776859d159cf1b390c9ea71213903826&creativeASIN=2070387046" target="_blank">La douleur</a></span><br />
<span style="font-family: Verdana, sans-serif;"><b>Auteur :</b> Marguerite Duras</span><br />
<span style="font-family: Verdana, sans-serif;"><b>Editeur :</b> Gallimard</span><br />
<span style="font-family: Verdana, sans-serif;"><b>Collection :</b> Folio</span><br />
<span style="font-family: Verdana, sans-serif;"><b>ISBN :</b> 9782070387045</span></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: Verdana, sans-serif;"></span><br /></div>
<iframe frameborder="0" marginheight="0" marginwidth="0" scrolling="no" src="//ws-eu.amazon-adsystem.com/widgets/q?ServiceVersion=20070822&OneJS=1&Operation=GetAdHtml&MarketPlace=FR&source=ac&ref=qf_sp_asin_til&ad_type=product_link&tracking_id=mabachen-21&marketplace=amazon&region=FR&placement=2070387046&asins=2070387046&linkId=776859d159cf1b390c9ea71213903826&show_border=true&link_opens_in_new_window=true&price_color=333333&title_color=0066c0&bg_color=ffffff" style="height: 240px; width: 120px;">
</iframe>Les chroniques de Mariehttp://www.blogger.com/profile/09606654020878490412noreply@blogger.com2tag:blogger.com,1999:blog-3555274088734712828.post-25270454854742110832018-05-08T15:02:00.000+02:002018-06-26T18:36:50.856+02:00Le solitaire - Eugène Ionesco<span style="font-family: "verdana" , sans-serif;"><a href="https://www.amazon.fr/Solitaire-Eug%C3%A8ne-Ionesco/dp/2070368270/ref=as_sl_pc_qf_sp_asin_til?tag=mabachen-21&linkCode=w00&linkId=a787a44e95904b64379dface7fca1ffe&creativeASIN=2070368270" target="_blank">Le solitaire</a>, Eugène Ionesco</span><br />
<br />
<div style="margin: 0px 0px 10.66px; text-align: justify;">
<span style="font-family: "verdana" , sans-serif;">Petite chronique pour un avis
très mitigé sur ce roman qui m’a amené à m’interroger sur les raisons qui
poussent certaines personnes à se tourmenter à ce point l’esprit en se posant
des questions aussi tortueuses, et de sombrer dans l’alcool pour ressentir un
quelconque apaisement pour le moins éphémère et combler le néant volontairement
provoqué.</span><br />
<span style="font-family: Verdana, sans-serif;"><span style="font-size: 12pt; margin: 0px;"><br /></span></span>
<span style="font-family: Verdana, sans-serif;"><span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">« </span></span><span style="font-family: "verdana" , sans-serif;"><a href="https://www.amazon.fr/Solitaire-Eug%C3%A8ne-Ionesco/dp/2070368270/ref=as_sl_pc_qf_sp_asin_til?tag=mabachen-21&linkCode=w00&linkId=a787a44e95904b64379dface7fca1ffe&creativeASIN=2070368270" target="_blank">Le solitaire</a><span style="font-size: 12pt; margin: 0px;"><span style="font-family: Verdana, sans-serif;"> »</span></span> est un roman où se
décline une succession de questionnements existentiels ressentis par le
personnage principal. Ce dernier, la trentaine passée, est totalement blasé, ne
sait ou ne voit plus comment évoluer dans la vie, voire même s’il a une raison d’être.
La monotonie de son existence le mine. Les quelques liaisons sentimentales qu’il
est amené à vivre ne sont pas pour lui redonner sourire et joie de vivre. Entre
boulot - bistrot - dodo, ce n’est pas la panacée pour le rendre heureux.</span><br />
<span style="font-family: "verdana" , sans-serif;"><br /></span>
<span style="font-family: "verdana" , sans-serif;">Jusqu’au jour où, héritier soudain
d’un oncle oublié, il décide d’arrêter de travailler et de déménager, pour
profiter de cette fortune inattendue et se laisser vivre au gré des jours. Il se
laisse emporter entre la boisson (alcoolisée) et ses interrogations qui le
mènent parfois à des réflexions presque désespérées.</span></div>
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEivCxGEpTzQm17qH0D3sqcv9cx0j6sU3NWac_ZsuM7in7vA1y4hlU_HeC8-NHDXhCUuTqTm-HlqXZzTEemCkDRrkQfiagn4BDOVtbgBgG0blDL-1OwXXjfdr00MEGNf0EIkNmJe_XcOHJw/s1600/couv-Ionesco.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="475" data-original-width="282" height="320" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEivCxGEpTzQm17qH0D3sqcv9cx0j6sU3NWac_ZsuM7in7vA1y4hlU_HeC8-NHDXhCUuTqTm-HlqXZzTEemCkDRrkQfiagn4BDOVtbgBgG0blDL-1OwXXjfdr00MEGNf0EIkNmJe_XcOHJw/s320/couv-Ionesco.jpg" width="189" /></a></div>
<span style="font-family: "verdana" , sans-serif;">Faut-il n’avoir rien à faire pour
se demander à quoi il sert de vivre, ou se demander encore si vivre à un sens,
sans trouver de réponses au final. Une femme pourtant, la serveuse du
restaurant du coin de la rue, tentera de le sortir de cet état quasi végétatif
dans lequel il se laisse couler. Mais, c’est peine perdue, malgré toute la
patience qu’elle emploie pour y parvenir. Elle finit par le quitter.</span><br />
<span style="font-family: "verdana" , sans-serif;"><br /></span>
<span style="font-family: "verdana" , sans-serif;">Se retrouvant de nouveau seul et
suite à une révolution, il s’enferme chez lui avec des réserves alimentaires et
d’alcools pour tenir sans avoir à sortir. S’ensuit une solitude encore plus
absurde.</span><br />
<span style="font-family: "verdana" , sans-serif;"><br /></span>
<span style="font-family: "verdana" , sans-serif;">J’avais entendu parler de <a href="https://www.amazon.fr/Solitaire-Eug%C3%A8ne-Ionesco/dp/2070368270/ref=as_sl_pc_qf_sp_asin_til?tag=mabachen-21&linkCode=w00&linkId=a787a44e95904b64379dface7fca1ffe&creativeASIN=2070368270" target="_blank">ce livre</a> et lu des commentaires intéressants, mais finalement, je me suis quelque
peu ennuyée. Je n’en garderai probablement pas un souvenir impérissable !</span><br />
<span style="font-family: "verdana" , sans-serif;"><br /></span>
<span style="font-family: "verdana" , sans-serif;">MB</span><br />
<span style="font-family: "verdana" , sans-serif;"><u><b><br /></b></u></span>
<span style="font-family: "verdana" , sans-serif;"><u><b>Informations sur le livre :</b></u></span><br />
<span style="font-family: "verdana" , sans-serif;"><b><br /></b></span>
<span style="font-family: "verdana" , sans-serif;"><b>Titre :</b> <a href="https://www.amazon.fr/Solitaire-Eug%C3%A8ne-Ionesco/dp/2070368270/ref=as_sl_pc_qf_sp_asin_til?tag=mabachen-21&linkCode=w00&linkId=a787a44e95904b64379dface7fca1ffe&creativeASIN=2070368270" target="_blank">Le solitaire</a></span><br />
<div style="margin: 0px 0px 10.66px; text-align: justify;">
<span style="font-family: "verdana" , sans-serif;"><b>Auteur :</b> Eugène Ionesco</span><br />
<span style="font-family: "verdana" , sans-serif;"><b>Editions :</b> Gallimard</span><br />
<span style="font-family: "verdana" , sans-serif;"><b>Collection :</b> Folio</span><br />
<span style="font-family: "verdana" , sans-serif;"><b>ISBN :</b> 9782070368273 </span><br />
<br /></div>
<iframe frameborder="0" marginheight="0" marginwidth="0" scrolling="no" src="//ws-eu.amazon-adsystem.com/widgets/q?ServiceVersion=20070822&OneJS=1&Operation=GetAdHtml&MarketPlace=FR&source=ac&ref=qf_sp_asin_til&ad_type=product_link&tracking_id=mabachen-21&marketplace=amazon&region=FR&placement=2070368270&asins=2070368270&linkId=a787a44e95904b64379dface7fca1ffe&show_border=true&link_opens_in_new_window=true&price_color=333333&title_color=0066c0&bg_color=ffffff" style="height: 240px; width: 120px;">
</iframe>Les chroniques de Mariehttp://www.blogger.com/profile/09606654020878490412noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-3555274088734712828.post-49906438198061647042017-04-25T20:00:00.000+02:002017-05-18T11:57:28.410+02:00La dernière des Stanfield<a href="http://fr.blastingnews.com/culture/2017/04/livre-la-derniere-des-stanfield-marc-levy-001650847.html" target="_blank">La dernière des Stanfield</a>, Marc Lévy<br />
<br />
<div style="margin: 0px 0px 11px;">
<span style="font-family: "calibri";"><b>Des secrets de famille pour ce nouveau roman ! A
découvrir absolument !</b></span></div>
<div style="margin: 0px 0px 11px; text-align: justify;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEif_Sr05S9PRvTG5Qwdmx5W5a_1yRFSLchLsBx3q9MSv7HeosiiijBtT91J7haHh5H4DGhgqPUm5HXL_kMaw2UGPH0vETZF0VqpSfdq-rDc4mHeCjPng7XFk1x7C2IWb_G5GlyV_7GcgJA/s1600/2017-04-25-LaDerni%25C3%25A8reDesStanfield.jpg" imageanchor="1" style="clear: right; float: right; margin-bottom: 1em; margin-left: 1em;"><img border="0" height="200" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEif_Sr05S9PRvTG5Qwdmx5W5a_1yRFSLchLsBx3q9MSv7HeosiiijBtT91J7haHh5H4DGhgqPUm5HXL_kMaw2UGPH0vETZF0VqpSfdq-rDc4mHeCjPng7XFk1x7C2IWb_G5GlyV_7GcgJA/s200/2017-04-25-LaDerni%25C3%25A8reDesStanfield.jpg" width="129" /></a><span style="font-family: "calibri";">Lorsqu’on ne connaît l’auteur que
par le bouche-à-oreille ou par le biais de différentes critiques littéraires
lues dans les magazines, entre le pour et le contre, on cherche inévitablement,
à un moment donné, à en découvrir la plume. On peut ne pas aimer, toutefois il
est à constater que souvent, aller vers cette découverte de Marc Lévy, c’est
plonger </span><b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "calibri";">tout droit vers une véritable addiction</span></b><span style="font-family: "calibri";">.
Car Marc Lévy, ce sont des histoires passionnantes rédigées dans un style d’une
fluidité surprenante et néanmoins prenante qui ne vous laissent pas sur le bord
de la route. « </span><b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "calibri";"><a href="http://fr.blastingnews.com/culture/2017/04/livre-la-derniere-des-stanfield-marc-levy-001650847.html" target="_blank">La dernière desStanfield</a></span></b><span style="font-family: "calibri";"> », tout juste </span><b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "calibri";">sorti
de presse le 19 avril</span></b><span style="font-family: "calibri";"> dernier, ne déroge donc pas à la règle, trouvant sa
place absolument méritée dans le cœur des lecteurs, tant de la première heure
que de la dernière. </span></div>
<div style="margin: 0px 0px 11px; text-align: justify;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "calibri";">Des secrets de famille insoupçonnés </span></b></div>
<span style="font-family: "calibri" , "sans-serif"; font-size: 11pt; line-height: 107%; margin: 0px;">Au cœur
d’une famille unie, mais un peu fofolle, on découvre Eleanor-Rigby Donovan,
jumelle de Michel - ce dernier est atteint du syndrome d’Asperger, ce qui le
rend un peu particulier, mais fort attachant – et leur sœur cadette Maggie, une
jeune femme au caractère bien trempé, mais avec un cœur immense. </span><br />
<div>
<span style="font-family: "calibri" , "sans-serif"; font-size: 11pt; line-height: 107%; margin: 0px;"><br /></span></div>
<div>
<span style="font-family: "calibri" , "sans-serif"; font-size: 11pt; line-height: 107%; margin: 0px;">Lire la suite de l'article, ici : <a href="http://fr.blastingnews.com/culture/2017/04/livre-la-derniere-des-stanfield-marc-levy-001650847.html" target="_blank">La dernière des Stanfield</a></span></div>
<div>
<span style="font-family: "calibri" , "sans-serif"; font-size: 11pt; line-height: 107%; margin: 0px;"><br /></span></div>
<div>
<span style="font-family: "calibri" , "sans-serif"; font-size: 11pt; line-height: 107%; margin: 0px;"><b><u>Informations sur le livre</u></b><u> </u><b><u>:</u></b> </span></div>
<div>
<span style="font-family: Calibri;"><u><br /></u></span></div>
<div>
<span style="font-family: Calibri;"><b>Titre</b> <b>:</b> <a href="https://www.amazon.fr/Derni%C3%A8re-Stanfield-Marc-Levy/dp/2221157850/ref=as_sl_pc_qf_sp_asin_til?tag=mabachen-21&linkCode=w00&linkId=869ce398ab01df465d3db223de0ab38f&creativeASIN=2221157850" target="_blank">La dernière des Stanfield</a></span></div>
<div>
<span style="font-family: Calibri;"><b>Auteur :</b> Marc Lévy</span></div>
<div>
<span style="font-family: Calibri;"><b>Editions</b> <b>:</b> Robert Laffont/Versilio<span style="-webkit-text-stroke-width: 0px; background-color: white; color: #333333; display: inline !important; float: none; font-family: verdana, arial, helvetica, sans-serif; font-size: 13px; font-style: normal; font-variant-caps: normal; font-variant-ligatures: normal; font-weight: normal; letter-spacing: normal; orphans: 2; text-align: left; text-decoration-color: initial; text-decoration-style: initial; text-indent: 0px; text-transform: none; white-space: normal; widows: 2; word-spacing: 0px;"></span></span></div>
<div>
<span style="font-family: Calibri;"><b>ISBN</b> <b>:</b> 9782221157855</span></div>
<div>
<span style="font-family: Calibri;">Disponible en <b><a href="https://www.amazon.fr/gp/product/B06XJD24GN/ref=as_li_qf_sp_asin_il_tl?ie=UTF8&tag=mabachen-21&camp=1642&creative=6746&linkCode=as2&creativeASIN=B06XJD24GN&linkId=34fe77756229c3f0b1ba9a3c4fd9b26b" target="_blank">format numérique</a></b></span></div>
<span style="font-family: "calibri" , "sans-serif"; font-size: 11pt; line-height: 107%; margin: 0px;"><br /></span><div>
</div>
<iframe frameborder="0" marginheight="0" marginwidth="0" scrolling="no" src="//ws-eu.amazon-adsystem.com/widgets/q?ServiceVersion=20070822&OneJS=1&Operation=GetAdHtml&MarketPlace=FR&source=ac&ref=qf_sp_asin_til&ad_type=product_link&tracking_id=mabachen-21&marketplace=amazon&region=FR&placement=2221157850&asins=2221157850&linkId=869ce398ab01df465d3db223de0ab38f&show_border=true&link_opens_in_new_window=true&price_color=333333&title_color=0066c0&bg_color=ffffff" style="height: 240px; width: 120px;">
</iframe>Les chroniques de Mariehttp://www.blogger.com/profile/09606654020878490412noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-3555274088734712828.post-18564959500746618672017-01-16T20:00:00.000+01:002017-05-18T11:41:05.043+02:0096 : la sixième corde<a href="https://www.blogger.com/%3CA%20href=%22http://mariebarrillon.blogspot.fr/2016/09/chasseurs-de-livres.html%22%20target=_new%3EChasseurs%20de%20livres%3C/A%3E" target="_blank">La sixième corde</a> de <span style="font-family: "calibri" , "sans-serif"; font-size: 11pt; margin: 0px;">Benjamin & Caroline Karo</span><br />
<br />
<div style="margin: 0px 0px 11px; text-align: justify;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-size: 11pt; margin: 0px;">Quelle est
la limite entre le passé et le futur ? Est-ce vraiment le présent ? </span></b></div>
<div style="margin: 0px 0px 11px; text-align: justify;">
<span style="font-size: 11pt; margin: 0px;">Ou bien chacun d’entre nous détermine ses limites
selon ses propres critères ? <b style="mso-bidi-font-weight: normal;">Pour
tester l’amour qui les unit avant de se marier</b>, Arnaud et Emma, vivant à
Londres, décident de partir chacun de leur côté pour aller à la rencontre de
celles et ceux qui ont fait battre leur cœur dans le passé. Alors qu’Emma se
rend à Montréal, Arnaud prend la direction de la France. </span></div>
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjB1kn_v2YZeOF5xfuAYPQr9PNFSiqfC-yPCN9zrhS_2HQFLS2bGcyHzcelHse7YjiKa-bwrThD_A5WyTKyUHi3D7ZnPsHWTgDfXOb414cyER0EKM05__SYCcPozN3ObECQlU_AIJjx_Uk/s1600/96-LaSixi%25C3%25A8meCorde.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="200" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjB1kn_v2YZeOF5xfuAYPQr9PNFSiqfC-yPCN9zrhS_2HQFLS2bGcyHzcelHse7YjiKa-bwrThD_A5WyTKyUHi3D7ZnPsHWTgDfXOb414cyER0EKM05__SYCcPozN3ObECQlU_AIJjx_Uk/s200/96-LaSixi%25C3%25A8meCorde.jpg" width="133" /></a><span style="font-family: "calibri" , "sans-serif"; font-size: 11pt; margin: 0px;">Le
jeune homme, la trentaine, accompagné de ses acolytes, des potes de longue date
à qui il peut (presque) tout demander, et même imposer avec finesse, nous
emmène dans ce roman qui ne manque pas de rythme. Sur les routes, de ville en
ville, nous les suivons <b style="mso-bidi-font-weight: normal;">pour retrouver
cinq femmes qui ont marqué la vie d’Arnaud</b>. Leur empreinte est-elle si
indélébile ? Pendant que les copains se lâchent profitant des femmes
qu’ils croisent sur leur route sans parfois être très gentlemans, Arnaud
retrouve ses ex. A chacun son périple… ou sa mission ! Néanmoins, tout ce
petit monde, <b style="mso-bidi-font-weight: normal;">malgré la frivolité qui
s’échappe de chacun</b>, va être amené à s’interroger sur le sens et la valeur
des sentiments que l’on accorde autour de soi, qu’il s’agisse d’amour ou
d’amitié.</span><br />
<div>
<span style="font-family: "calibri" , "sans-serif"; font-size: 11pt; margin: 0px;"><b>Lire la suite de l'article, ici :</b> <a href="http://fr.blastingnews.com/culture/2017/01/livre-96-la-sixieme-corde-benjamin-caroline-karo-001377951.html" target="_blank">96 : La sixième corde</a></span></div>
<div>
<br />
<span style="font-family: "calibri" , "sans-serif"; font-size: 11pt; margin: 0px;"><b>Informations sur le livre :</b></span></div>
<div>
<span style="font-family: "calibri" , "sans-serif"; font-size: 11pt; margin: 0px;">Titre : <a href="https://www.amazon.fr/96-Caroline-KARO-ebook/dp/B01G0KUVSY/ref=as_sl_pc_qf_sp_asin_til?tag=mabachen-21&linkCode=w00&linkId=92b4915838a5e8fe36a4c24d44d3878e&creativeASIN=B01G0KUVSY" target="_blank">La sixième corde</a></span><br />
<span style="font-family: "calibri" , "sans-serif"; font-size: 11pt; margin: 0px;">Auteur : Caroline et Benjamin Karo</span><br />
<span style="font-family: "calibri" , "sans-serif"; font-size: 11pt; margin: 0px;">Editions : Mitton Edition</span><br />
<span style="font-family: "calibri" , "sans-serif"; font-size: 11pt; margin: 0px;">ISBN : 9791095675006</span><br />
<span style="font-family: "calibri" , "sans-serif"; font-size: 11pt; margin: 0px;">Disponible en <a href="https://www.amazon.fr/96-Caroline-KARO-ebook/dp/B01G0KUVSY/ref=as_sl_pc_qf_sp_asin_til?tag=mabachen-21&linkCode=w00&linkId=92b4915838a5e8fe36a4c24d44d3878e&creativeASIN=B01G0KUVSY" target="_blank">format numérique</a></span><br />
<br />
<br /></div>
<div>
<div style="background: white; margin: 0px; text-align: justify;">
</div>
<div style="background: white; margin: 0px; text-align: justify;">
</div>
</div>
<iframe frameborder="0" marginheight="0" marginwidth="0" scrolling="no" src="//ws-eu.amazon-adsystem.com/widgets/q?ServiceVersion=20070822&OneJS=1&Operation=GetAdHtml&MarketPlace=FR&source=ac&ref=qf_sp_asin_til&ad_type=product_link&tracking_id=mabachen-21&marketplace=amazon&region=FR&placement=B01G0KUVSY&asins=B01G0KUVSY&linkId=92b4915838a5e8fe36a4c24d44d3878e&show_border=true&link_opens_in_new_window=true&price_color=333333&title_color=0066c0&bg_color=ffffff" style="height: 240px; width: 120px;">
</iframe>
Les chroniques de Mariehttp://www.blogger.com/profile/09606654020878490412noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-3555274088734712828.post-82697135529748411532016-12-15T10:00:00.000+01:002017-01-15T19:30:10.666+01:0013 à table<h4 style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "verdana" , sans-serif;">
- </span><a href="http://fr.blastingnews.com/culture/2016/12/livre-13-a-table-le-recueil-de-la-solidarite-001330827.html" target="_blank"><span style="font-family: "verdana" , sans-serif;">13 à table</span></a><span style="font-family: "verdana" , sans-serif;">, collectif d'auteurs, Pocket</span></h4>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiZc5dJTgAClQe4E6sRppafLa2qcNNsLuyniIr_GQkNBMYo0PIPdkM0QUXSJ9l53gqpQp9oXINBPcdJRuKHOEKImeBfFZ0gvmicUfRUW49hyphenhyphenaH9_ssVgfeTOGsxCQmL4u527TIjIN3U4oM/s1600/13ATable.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="200" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiZc5dJTgAClQe4E6sRppafLa2qcNNsLuyniIr_GQkNBMYo0PIPdkM0QUXSJ9l53gqpQp9oXINBPcdJRuKHOEKImeBfFZ0gvmicUfRUW49hyphenhyphenaH9_ssVgfeTOGsxCQmL4u527TIjIN3U4oM/s200/13ATable.jpg" width="121" /></a></div>
<span style="font-family: "verdana" , sans-serif;"><a href="http://fr.blastingnews.com/culture/2016/12/livre-13-a-table-le-recueil-de-la-solidarite-001330827.html" target="_blank">13 à table</a>, c'est <b>LE</b> recueil de la solidarité ! L'actualité livre du moment.<br />Il est publiée au format livre de poche par les éditions Pocket, associé à toute la chaîne du livre à commencer par les auteurs eux-mêmes, au profit des restos du cœur.<br />En entreprenant cette lecture, on s’invite indéniablement à la table de chacune de ces histoires. Nous sommes l’observateur invisible de l’encre qui se déverse de la plume de chaque auteur.</span></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "verdana";"><br /></span></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "verdana" , sans-serif;"><b>Lire l'article, ici :</b> <a href="http://fr.blastingnews.com/culture/2016/12/livre-13-a-table-le-recueil-de-la-solidarite-001330827.html" target="_blank">13 à table, collectif d'auteurs, Pocket</a></span></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "verdana";"><br /></span></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "verdana";"><br />
</span></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "verdana" , sans-serif;"><b><u>Informations sur le livre : </u></b></span></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "verdana";"><br /></span></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "verdana" , sans-serif;"><b>Titre :</b> <a href="https://www.amazon.fr/13-%C3%A0-table-2017-COLLECTIF/dp/2266271261/ref=as_sl_pc_qf_sp_asin_til?tag=mabachen-21&linkCode=w00&linkId=&creativeASIN=2266271261" target="_blank">13 à table</a><br /><b>Auteur (collectif) :</b> Françoise Bourdin - Maxime Chattam - François d'Epenoux - Caryl Férey - Karine Giébel - Alexandra Lapierre - Agnès Ledig - Marc Levy - Agnès Martin-Lugand - Bernard Minier - Romain Puértolas - Yann Quéffelec - Franck Thilliez<br /><b>Editions :</b> Pocket<br /><b>ISBN :</b> 9782266271264</span><br />
<span style="font-family: "verdana";"><br /></span></div>
<iframe frameborder="0" marginheight="0" marginwidth="0" scrolling="no" src="//ws-eu.amazon-adsystem.com/widgets/q?ServiceVersion=20070822&OneJS=1&Operation=GetAdHtml&MarketPlace=FR&source=ac&ref=qf_sp_asin_til&ad_type=product_link&tracking_id=mabachen-21&marketplace=amazon&region=FR&placement=2266271261&asins=2266271261&linkId=&show_border=true&link_opens_in_new_window=true" style="height: 240px; width: 120px;">
</iframe><br />Les chroniques de Mariehttp://www.blogger.com/profile/09606654020878490412noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-3555274088734712828.post-78109858204346374772016-12-05T12:00:00.000+01:002017-01-03T19:02:17.788+01:00Une fille parfaite<h4 style="text-align: justify;">
- <a href="http://fr.blastingnews.com/culture/2016/12/livre-une-fille-parfaite-mary-kubica-editions-mosaic-001307929.html" target="_blank">Une fille parfaite</a>, Mary Kubica, HarperCollins</h4>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "verdana";"><br /></span></div>
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgzCXLiuPOhZlGwVW8ix53Pdde5Q43daAFT7S-rF9S66r8sh9C_Mpz8s1ZcKWGJRtR6jOykooqFHf2Hx4D08aN0XYZ44ZLKVdahmMNzM879J16gicrFjQV66hrxUx6Eoyp5Vy1OpPGL2oA/s1600/2016-12-05+UneFilleParfaite.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="200" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgzCXLiuPOhZlGwVW8ix53Pdde5Q43daAFT7S-rF9S66r8sh9C_Mpz8s1ZcKWGJRtR6jOykooqFHf2Hx4D08aN0XYZ44ZLKVdahmMNzM879J16gicrFjQV66hrxUx6Eoyp5Vy1OpPGL2oA/s200/2016-12-05+UneFilleParfaite.jpg" width="120" /></a></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "verdana" , sans-serif;"><a href="https://www.amazon.fr/Une-fille-parfaite-Mary-Kubica/dp/B01M1993HU/ref=as_sl_pc_qf_sp_asin_til?tag=mabachen-21&linkCode=w00&linkId=&creativeASIN=B01M1993HU" target="_blank">Une fille parfaite</a> est un roman rédigé habilement et de manière assez subtile. Une lecture "Harlequin" de la collection "Mosaïc", loin des parutions à l'eau de rose réputées que l’on connait de longue date chez cet éditeur. <a href="http://fr.blastingnews.com/culture/2016/12/livre-une-fille-parfaite-mary-kubica-editions-mosaic-001307929.html" target="_blank">Une fille parfaite</a>, un thriller signé Mary Kubica est le tout premier roman de cet auteur. </span></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "verdana";"><br /></span></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "verdana" , sans-serif;">Force est de constater qu'après cet ouvrage assez remarquable, on lui souhaite d'autres parutions toutes aussi bien menées. Un bon premier roman à ne pas manquer !</span></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "verdana";"><br /></span></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "verdana" , sans-serif;"><b>Lire l'article, ici :</b> <a href="http://fr.blastingnews.com/culture/2016/12/livre-une-fille-parfaite-mary-kubica-editions-mosaic-001307929.html" target="_blank">Une fille parfaite, Mary Kubica, HarperCollins</a></span></div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "verdana" , sans-serif;"><u><b>Informations sur le livre :</b></u> </span></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "verdana";"><br /></span></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "verdana" , sans-serif;"><b>Titre :</b> <a href="https://www.amazon.fr/Une-fille-parfaite-Mary-Kubica/dp/B01M1993HU/ref=as_sl_pc_qf_sp_asin_til?tag=mabachen-21&linkCode=w00&linkId=&creativeASIN=B01M1993HU" target="_blank">Une fille parfaite</a><br /><b>Auteur :</b> Mary Kubica<br /><b>Editions :</b> HarperCollins<br /><b>ISBN :</b> 9791033900986<br />Egalement disponible au format numérique</span></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "verdana";"></span><br /></div>
<iframe frameborder="0" marginheight="0" marginwidth="0" scrolling="no" src="//ws-eu.amazon-adsystem.com/widgets/q?ServiceVersion=20070822&OneJS=1&Operation=GetAdHtml&MarketPlace=FR&source=ac&ref=qf_sp_asin_til&ad_type=product_link&tracking_id=mabachen-21&marketplace=amazon&region=FR&placement=B01M1993HU&asins=B01M1993HU&linkId=&show_border=true&link_opens_in_new_window=true" style="height: 240px; width: 120px;">
</iframe>Les chroniques de Mariehttp://www.blogger.com/profile/09606654020878490412noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-3555274088734712828.post-11235483293851993392016-11-28T11:30:00.000+01:002016-12-26T14:59:24.634+01:00Le fabuleux destin d'une vache...<h4 style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "verdana" , sans-serif;">- <a href="http://fr.blastingnews.com/culture/2016/11/livre-pourquoi-il-faut-absolument-lire-ce-fabuleux-destin-001290587.html" target="_blank">Le fabuleux destin d'une vache...</a>, David Safier, Pocket</span></h4>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjkKk7D6-4NKbGVtEYqgqYeM5FP8rTYc9raPvNq3tfwszSpd_NnW1HOKsn7OW4iffUUMc5PA2YSg23XIY8hPeOHf3SED7aYIZrwRBbVgQXXotbWllUTXEf-MmaVTs9iJ-ZzNhS7nWxP-IU/s1600/LeFabuleuxDestin.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="200" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjkKk7D6-4NKbGVtEYqgqYeM5FP8rTYc9raPvNq3tfwszSpd_NnW1HOKsn7OW4iffUUMc5PA2YSg23XIY8hPeOHf3SED7aYIZrwRBbVgQXXotbWllUTXEf-MmaVTs9iJ-ZzNhS7nWxP-IU/s200/LeFabuleuxDestin.jpg" width="123" /></a></div>
<span style="font-family: "verdana" , sans-serif;">Quelle idée saugrenue que de faire parler une vache et ses acolytes dans un roman ! Idée saugrenue, certes, et cependant tout à fait originale. <a href="http://fr.blastingnews.com/culture/2016/11/livre-pourquoi-il-faut-absolument-lire-ce-fabuleux-destin-001290587.html" target="_blank">"Le fabuleux destin d'une vache qui ne voulait pas finir en steak haché"</a> est titre exact et entier de ce roman. Cette Lecture offre une parenthèse toute en fraîcheur.</span></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "verdana" , sans-serif;"><br />La meilleure recommandation pour apprécier cette lecture serait d’être apte à se laisser porter par l’histoire pour se transposer dans l’esprit de l’héroïne, d’en imaginer les scènes sans s’attendre à des phrases cultes. Là n’est pas son but.</span></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "verdana" , sans-serif;"><br /></span></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "verdana" , sans-serif;"><br /></span></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "verdana" , sans-serif;"><b>Lire l'article, ici :</b> <a href="http://fr.blastingnews.com/culture/2016/11/livre-pourquoi-il-faut-absolument-lire-ce-fabuleux-destin-001290587.html" target="_blank">Le fabuleux destin d'une vache...</a>, David Safier, Pocket</span></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "verdana" , sans-serif;"><br /></span></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "verdana" , sans-serif;"><b><u>Informations sur le livre :</u></b> </span></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "verdana" , sans-serif;"><br /></span></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "verdana" , sans-serif;"><b>Titre :</b> <a href="https://www.amazon.fr/Fabuleux-destin-vache-voulait-steack/dp/2266255215/ref=as_sl_pc_qf_sp_asin_til?tag=mabachen-21&linkCode=w00&linkId=&creativeASIN=2266255215" target="_blank">Le fabuleux destin d'une vache qui ne voulait pas finir en steak haché</a><br /><b>Auteur :</b> David Safier<br /><b>Editions :</b> Pocket<br /><b>ISBN :</b> 9782266255219<br />Egalement disponible au format numérique</span></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "verdana";"></span><br /></div>
<iframe frameborder="0" marginheight="0" marginwidth="0" scrolling="no" src="//ws-eu.amazon-adsystem.com/widgets/q?ServiceVersion=20070822&OneJS=1&Operation=GetAdHtml&MarketPlace=FR&source=ac&ref=qf_sp_asin_til&ad_type=product_link&tracking_id=mabachen-21&marketplace=amazon&region=FR&placement=2266255215&asins=2266255215&linkId=&show_border=true&link_opens_in_new_window=true" style="height: 240px; width: 120px;">
</iframe>Les chroniques de Mariehttp://www.blogger.com/profile/09606654020878490412noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-3555274088734712828.post-13659534886205094182016-09-20T20:00:00.000+02:002017-05-18T11:21:04.557+02:00Chasseurs de livres<br />
<h3 style="margin: 0px 0px 11px; text-align: justify;">
<span style="font-size: 11pt; margin: 0px;"><a href="http://fr.blastingnews.com/culture/2016/09/chasseurs-de-livres-contre-traqueurs-de-pokemon-s-001131269.html" target="_blank">Chasseurs de livres contre traqueurs dePokémon’s !</a></span></h3>
<div style="margin: 0px 0px 11px; text-align: justify;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-size: 11pt; margin: 0px;">Le livre voyageur prend de l’ampleur et
tend à devenir sans frontières !</span></b></div>
<div style="margin: 0px 0px 11px; text-align: justify;">
<span style="font-size: 11pt; margin: 0px;">Tous
les passionnés de lecture vous le diront, perdre un livre est une véritable
torture ! D’aucuns ont même beaucoup de mal à, ne serait-ce que prêter un
livre de peur qu’il ne soit jamais rendu par<span style="margin: 0px;">
</span>l’emprunteur. Chat échaudé craint l’eau froide, <b style="mso-bidi-font-weight: normal;">on ne récidive donc pas dans un prêt que l’on peut imaginer perdu</b>
d’avance.</span></div>
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhZSuE_QYTJXJtXxa4P3a2UEsmDKhvDqccYcUFaSKvOYBCVLaNc17zy1U9NWu96RyC0WPaRJGfbxN8dKqkrPciouxD-vHI77xh6QiZstJmvdq8XQKw7h3EhDHGx-V2D5xoWjfCJFn62zes/s1600/ChasseursDeLivres.jpg" imageanchor="1" style="clear: right; float: right; margin-bottom: 1em; margin-left: 1em;"><img border="0" height="129" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhZSuE_QYTJXJtXxa4P3a2UEsmDKhvDqccYcUFaSKvOYBCVLaNc17zy1U9NWu96RyC0WPaRJGfbxN8dKqkrPciouxD-vHI77xh6QiZstJmvdq8XQKw7h3EhDHGx-V2D5xoWjfCJFn62zes/s320/ChasseursDeLivres.jpg" width="320" /></a><span style="font-family: "calibri" , "sans-serif"; font-size: 11pt; margin: 0px;">Pour tous les passionnés, un livre c’est un
trésor que l’on vénère, que l’on adore, que l’on dorlote. On chérit sa
couverture (pas chauffante, mais…) qui réchauffe tout de même. On aime son
odeur, celle de l’encre si particulière qui enivre. Et, pour peu que le livre
soit ancien, c’est encore meilleur, on atteint les summums du zénith à la
limite du Nirvana ! On affectionne son papier de tout grain, soyeux à
souhait. Bref, <b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><a href="http://fr.blastingnews.com/culture/2016/09/chasseurs-de-livres-contre-traqueurs-de-pokemon-s-001131269.html" target="_blank">le livre est un objet àpart, un objet de collection</a></b>, qui a une véritable valeur dans le cœur des
lecteurs.</span><br />
<span style="font-family: "calibri" , "sans-serif"; font-size: 11pt; margin: 0px;"><br /></span>
<span style="font-family: "calibri" , "sans-serif"; font-size: 11pt; margin: 0px;">Lire la suite, ici : <a href="http://fr.blastingnews.com/culture/2016/09/chasseurs-de-livres-contre-traqueurs-de-pokemon-s-001131269.html" target="_blank">Chasseurs de livres contre traqueurs de Pokémon's !</a></span><span style="font-family: "calibri" , "sans-serif"; font-size: 11pt; margin: 0px;"><br /></span><br />
Sélection de livres, ici :<br />
<br />
<iframe border="0" frameborder="0" height="60" marginwidth="0" scrolling="no" src="https://rcm-eu.amazon-adsystem.com/e/cm?o=8&p=26&l=ur1&category=books&banner=1W6VMRS8726RAM8FY702&f=ifr&linkID=3e4512aeca3ca2cea45fe251860b6858&t=mabachen-21&tracking_id=mabachen-21" style="border: none;" width="468"></iframe>Les chroniques de Mariehttp://www.blogger.com/profile/09606654020878490412noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-3555274088734712828.post-31341621483256611552016-06-16T14:11:00.000+02:002016-12-26T14:16:28.315+01:00N’éteins pas la lumière<h4>
<span style="font-family: Verdana, sans-serif;">
- </span><a href="http://fr.blastingnews.com/culture/2016/06/n-eteins-pas-la-lumiere-de-bernard-minier-chez-pocket-thriller-00968883.html" target="_blank"><span style="font-family: Verdana, sans-serif;">N’éteins pas la lumière</span></a><span style="font-family: Verdana, sans-serif;">, Bernard Minier, Pocket Thriller</span></h4>
<div>
<br /></div>
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEifvXSKk26guPk8D_p3Cm2li_-poYhjvchwcEqELoqy9czgee9BG4X8NIMiH44QJv7LeBC2tNYc39nGag3YS6pw_CvZqu28LY36_rzROMxCpTl2pg3IJsj0jQRvXbTpAZ5_uJNslzaCa5Q/s1600/NeteinsPasLaLumi%25C3%25A8re.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><span style="font-family: Verdana, sans-serif;"><img border="0" height="200" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEifvXSKk26guPk8D_p3Cm2li_-poYhjvchwcEqELoqy9czgee9BG4X8NIMiH44QJv7LeBC2tNYc39nGag3YS6pw_CvZqu28LY36_rzROMxCpTl2pg3IJsj0jQRvXbTpAZ5_uJNslzaCa5Q/s200/NeteinsPasLaLumi%25C3%25A8re.jpg" width="120" /></span></a></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: Verdana, sans-serif;">Un thriller psychologique où les lecteurs plongent dans les méandres sombres et malsains de ce que les hommes sont capables d'engendrer de pire, dans un suspense optimum regroupant les ingrédients nécessaires, mais aussi indispensables pour aboutir à cette réussite.</span></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: Verdana, sans-serif;">En découvrant Bernard Minier, c'est comme si vous receviez une piqûre qui rend accro dans une addiction dont vous ne reviendrez pas parce que c'est si bon !</span></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: Verdana;"></span><br /></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: Verdana, sans-serif;">Un thriller brûlant à la pointe d’une plume aiguisée en pleine lumière !</span></div>
<span style="font-family: Verdana, sans-serif;"></span><br />
<b><span style="font-family: Verdana, sans-serif;">Lire l'article, ici :</span></b><span style="font-family: Verdana, sans-serif;"> </span><a href="http://fr.blastingnews.com/culture/2016/06/n-eteins-pas-la-lumiere-de-bernard-minier-chez-pocket-thriller-00968883.html" target="_blank"><span style="font-family: Verdana, sans-serif;">N’éteins pas la lumière, Bernard Minier, Pocket Thriller</span></a><br />
<span style="font-family: Verdana, sans-serif;"></span><br />
<b><u><span style="font-family: Verdana, sans-serif;">Informations sur le livre :</span></u></b><span style="font-family: Verdana, sans-serif;"> </span><br />
<u></u><b><span style="font-family: Verdana, sans-serif;"><br /></span></b>
<b><span style="font-family: Verdana, sans-serif;">Titre :</span></b><span style="font-family: Verdana, sans-serif;"> </span><a href="https://www.amazon.fr/N%C3%A9teins-pas-lumi%C3%A8re-Bernard-Minier/dp/226625510X/ref=as_sl_pc_qf_sp_asin_til?tag=mabachen-21&linkCode=w00&linkId=&creativeASIN=226625510X" target="_blank"><span style="font-family: Verdana, sans-serif;">N’éteins pas la lumière</span></a><br />
<b><span style="font-family: Verdana, sans-serif;">Auteur :</span></b><span style="font-family: Verdana, sans-serif;"> Bernard Minier</span><br />
<b><span style="font-family: Verdana, sans-serif;">Editions :</span></b><span style="font-family: Verdana, sans-serif;"> Pocket Thriller</span><br />
<b><span style="font-family: Verdana, sans-serif;">ISBN :</span></b><span style="font-family: Verdana, sans-serif;"> 9782266255103</span><br />
<span style="font-family: Verdana, sans-serif;">Egalement disponible au format numérique</span><br />
<br />
<iframe frameborder="0" marginheight="0" marginwidth="0" scrolling="no" src="//ws-eu.amazon-adsystem.com/widgets/q?ServiceVersion=20070822&OneJS=1&Operation=GetAdHtml&MarketPlace=FR&source=ac&ref=qf_sp_asin_til&ad_type=product_link&tracking_id=mabachen-21&marketplace=amazon&region=FR&placement=226625510X&asins=226625510X&linkId=&show_border=true&link_opens_in_new_window=true" style="height: 240px; width: 120px;">
</iframe>Les chroniques de Mariehttp://www.blogger.com/profile/09606654020878490412noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-3555274088734712828.post-56669948867803277772016-06-13T13:00:00.000+02:002016-12-26T14:06:13.386+01:00Complètement Cramé !<h4 style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "verdana" , sans-serif;">
- </span><a href="http://fr.blastingnews.com/culture/2016/06/completement-crame-de-gilles-legardinier-00964693.html" target="_blank"><span style="font-family: "verdana" , sans-serif;">Complètement Cramé !</span></a><span style="font-family: "verdana" , sans-serif;"> de Gilles Legardinier, Editions Pocket</span></h4>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "verdana" , sans-serif;"></span><br /></div>
<div class="separator" style="clear: both; text-align: justify;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiw7hvk-EuR6ivN2bJ0wIsUEPpchOKNR0ZFtU1F6uwJX7ztD7QVg0a41heNiLStquUdttMbN237kmhuH6X0zMHXVAely2uGwVn-jz82Efx_v3-pgl8irhVkneoSGLSviE_UNrdf3uZRIrY/s1600/Compl%25C3%25A8tementCram%25C3%25A9.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><span style="font-family: "verdana" , sans-serif;"><img border="0" height="200" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiw7hvk-EuR6ivN2bJ0wIsUEPpchOKNR0ZFtU1F6uwJX7ztD7QVg0a41heNiLStquUdttMbN237kmhuH6X0zMHXVAely2uGwVn-jz82Efx_v3-pgl8irhVkneoSGLSviE_UNrdf3uZRIrY/s200/Compl%25C3%25A8tementCram%25C3%25A9.jpg" width="123" /></span></a></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "verdana" , sans-serif;">Des personnages attachants qui retiennent les lecteurs, et ça fonctionne !</span></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "verdana" , sans-serif;">Certains reprochent à cet ouvrage un côté "irréaliste" de l’histoire.</span><span style="font-family: "verdana" , sans-serif;"> Or, pourquoi faudrait-il qu’un </span><span class="tag-clickable"><span style="font-family: "verdana" , sans-serif;">Roman</span></span><span style="font-family: "verdana" , sans-serif;"> soit nécessairement le reflet de la vraie vie ? Ce n’est pas ce qu’on en attend. Dans le cas contraire il faut s’atteler à la </span><span class="tag-clickable"><span style="font-family: "verdana" , sans-serif;">Lecture</span></span><span style="font-family: "verdana" , sans-serif;"> de biographies qui envahissent les étals des librairies !</span></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "verdana" , sans-serif;">"<a href="http://fr.blastingnews.com/culture/2016/06/completement-crame-de-gilles-legardinier-00964693.html" target="_blank">Complètement cramé !</a>" est un roman humain avec des valeurs sincères, où se côtoient l’humour, l’amour, l’amitié, les émotions, les sourires, la joie…</span></div>
<div>
<span style="font-family: "verdana" , sans-serif;"><br /></span></div>
<div>
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
<b><span style="font-family: "verdana" , sans-serif;">Lire l'article, ici :</span></b><span style="font-family: "verdana" , sans-serif;"> </span><a href="http://fr.blastingnews.com/culture/2016/06/completement-crame-de-gilles-legardinier-00964693.html" target="_blank"><span style="font-family: "verdana" , sans-serif;">Complètement Cramé ! de Gilles Legardinier, Editions Pocket</span></a></div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
<b><u><span style="font-family: "verdana" , sans-serif;">Informations sur le livre :</span></u></b><span style="font-family: "verdana" , sans-serif;"> </span></div>
<div style="text-align: justify;">
<b><span style="font-family: "verdana" , sans-serif;"><br /></span></b>
<b><span style="font-family: "verdana" , sans-serif;">Titre :</span></b><span style="font-family: "verdana" , sans-serif;"> </span><a href="https://www.amazon.fr/Compl%C3%A8tement-cram%C3%A9-Gilles-Legardinier/dp/2266246194/ref=as_sl_pc_qf_sp_asin_til?tag=mabachen-21&linkCode=w00&linkId=&creativeASIN=2266246194" target="_blank"><span style="font-family: "verdana" , sans-serif;">Complètement Cramé !</span></a><b></b></div>
<div style="text-align: justify;">
<b><span style="font-family: "verdana" , sans-serif;">Auteur :</span></b><span style="font-family: "verdana" , sans-serif;"> Gilles Legardinier</span></div>
<div style="text-align: justify;">
<b><span style="font-family: "verdana" , sans-serif;">Editions :</span></b><span style="font-family: "verdana" , sans-serif;"> Pocket</span></div>
<div style="text-align: justify;">
<b><span style="font-family: "verdana" , sans-serif;">ISBN :</span></b><span style="font-family: "verdana" , sans-serif;"> 9782266246194</span></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "verdana" , sans-serif;">Egalement disponible au format numérique</span></div>
<br />
<iframe frameborder="0" marginheight="0" marginwidth="0" scrolling="no" src="//ws-eu.amazon-adsystem.com/widgets/q?ServiceVersion=20070822&OneJS=1&Operation=GetAdHtml&MarketPlace=FR&source=ac&ref=qf_sp_asin_til&ad_type=product_link&tracking_id=mabachen-21&marketplace=amazon&region=FR&placement=2266246194&asins=2266246194&linkId=&show_border=true&link_opens_in_new_window=true" style="height: 240px; width: 120px;">
</iframe><br />
<br />
<br />Les chroniques de Mariehttp://www.blogger.com/profile/09606654020878490412noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-3555274088734712828.post-65136167364648218392016-06-12T13:32:00.000+02:002016-12-26T14:01:01.704+01:00Et soudain tout change<h4>
<span style="font-family: Verdana, sans-serif;">
- </span><a href="http://fr.blastingnews.com/culture/2016/06/et-soudain-tout-change-gilles-legardinier-00962151.html" target="_blank"><span style="font-family: Verdana, sans-serif;">Et soudain tout change</span></a><span style="font-family: Verdana, sans-serif;">, Gilles Legardinier, Editions Pocket</span></h4>
<div>
<span style="font-family: Verdana, sans-serif;"></span><br /></div>
<div style="text-align: justify;">
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjBEqK1ZKMU0XFg1l-qPWaCBqASunbfrf9hdLXcXQSyiSZdIy9Qau64IkxQ9Vm-kmJ9uPRyzXt_LynKzVOen9lixtDOdM4XG22lzpnRSnr8Srq4-3sbV_RDwuO5BPDnlAzLb8SO8nk2ZjI/s1600/EtSoudainToutChange.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><span style="font-family: Verdana, sans-serif;"><img border="0" height="200" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjBEqK1ZKMU0XFg1l-qPWaCBqASunbfrf9hdLXcXQSyiSZdIy9Qau64IkxQ9Vm-kmJ9uPRyzXt_LynKzVOen9lixtDOdM4XG22lzpnRSnr8Srq4-3sbV_RDwuO5BPDnlAzLb8SO8nk2ZjI/s200/EtSoudainToutChange.jpg" width="125" /></span></a></div>
<span style="font-family: Verdana, sans-serif;">Gilles Legardinier est un auteur qui monte tranquillement, mais avec aisance, dans les palmarès livresques, tout en faisant mouche à chaque fois. </span><br />
<span style="font-family: verdana;"></span><br /></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: Verdana, sans-serif;">Malgré le tragique de l'histoire qui frappe cette jeunesse dans "</span><a href="http://fr.blastingnews.com/culture/2016/06/et-soudain-tout-change-gilles-legardinier-00962151.html" target="_blank"><span style="font-family: Verdana, sans-serif;">Et soudain tout change</span></a><span style="font-family: Verdana, sans-serif;">", Gilles Legardinier dose à merveille l'humour et les émotions avec art. </span></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: Verdana, sans-serif;"></span><br /></div>
<div>
<b><span style="font-family: Verdana, sans-serif;">Lire l'article, ici :</span></b><span style="font-family: Verdana, sans-serif;"> </span><a href="http://fr.blastingnews.com/culture/2016/06/et-soudain-tout-change-gilles-legardinier-00962151.html" target="_blank"><span style="font-family: Verdana, sans-serif;">Et soudain tout change, Gilles Legardinier, Editions Pocket</span></a><br />
<br /></div>
<div>
<br /></div>
<div>
<b><u><span style="font-family: Verdana, sans-serif;">Informations sur le livre :</span></u></b><span style="font-family: Verdana, sans-serif;"> </span></div>
<div>
<span style="font-family: Verdana, sans-serif;"></span><br /></div>
<div>
<b><span style="font-family: Verdana, sans-serif;">Titre :</span></b><span style="font-family: Verdana, sans-serif;"> </span><a href="https://www.amazon.fr/soudain-tout-change-Gilles-Legardinier/dp/2266258494/ref=as_sl_pc_qf_sp_asin_til?tag=mabachen-21&linkCode=w00&linkId=&creativeASIN=2266258494" target="_blank"><span style="font-family: Verdana, sans-serif;">Et soudain tout change</span></a><br />
<b><span style="font-family: Verdana, sans-serif;">Auteur :</span></b><span style="font-family: Verdana, sans-serif;"> Gilles Legardinier</span><br />
<b><span style="font-family: Verdana, sans-serif;">Editions :</span></b><span style="font-family: Verdana, sans-serif;"> Pocket</span><br />
<b><span style="font-family: Verdana, sans-serif;">ISBN :</span></b><span style="font-family: Verdana, sans-serif;"> 9782266258494</span><br />
<span style="font-family: Verdana, sans-serif;">Egalement disponible au format numérique</span></div>
<div>
<br /></div>
<iframe frameborder="0" marginheight="0" marginwidth="0" scrolling="no" src="//ws-eu.amazon-adsystem.com/widgets/q?ServiceVersion=20070822&OneJS=1&Operation=GetAdHtml&MarketPlace=FR&source=ac&ref=qf_sp_asin_til&ad_type=product_link&tracking_id=mabachen-21&marketplace=amazon&region=FR&placement=2266258494&asins=2266258494&linkId=&show_border=true&link_opens_in_new_window=true" style="height: 240px; width: 120px;">
</iframe>Les chroniques de Mariehttp://www.blogger.com/profile/09606654020878490412noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-3555274088734712828.post-88953974403672433602016-06-12T09:00:00.000+02:002016-12-26T13:56:40.213+01:00Demain je pars<h4>
<span style="font-family: Verdana, sans-serif;">
- </span><a href="http://fr.blastingnews.com/culture/2016/06/un-roman-deroutant-et-intense-de-laurent-leoncini-00963145.html" target="_blank"><span style="font-family: Verdana, sans-serif;">Demain je pars</span></a><span style="font-family: Verdana, sans-serif;">, Laurent Leoncini, Editions Points</span></h4>
<div>
<span style="font-family: Verdana, sans-serif;"></span><br /></div>
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEi0acYEIb3wzZqEoAcPUPk8reX4KG_qHXpni4B7pOEaP_NbqrxsTgyCDGMondxdA6B0UnsJjYfwGUAURuz4UKfQawoAvRkaXDPR8LURvwVixV4OwxCnaccJAwgaWZNsiByAIiJZy7iYsd0/s1600/DemainJePars.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><span style="font-family: Verdana, sans-serif;"><img border="0" height="200" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEi0acYEIb3wzZqEoAcPUPk8reX4KG_qHXpni4B7pOEaP_NbqrxsTgyCDGMondxdA6B0UnsJjYfwGUAURuz4UKfQawoAvRkaXDPR8LURvwVixV4OwxCnaccJAwgaWZNsiByAIiJZy7iYsd0/s200/DemainJePars.jpg" width="133" /></span></a></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: Verdana, sans-serif;">C’est par un résumé tranché de l’éditeur que l’on vient à se poser des questions auxquelles on n’avait pas pensé, ou pas osé se poser avant. Changer de vie du jour au lendemain est un risque qu’il faut savoir calculer au mieux avec l’éventualité de ne pas trouver ce que l’on cherche.</span></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: Verdana, sans-serif;">Dans "<a href="http://fr.blastingnews.com/culture/2016/06/un-roman-deroutant-et-intense-de-laurent-leoncini-00963145.html" target="_blank">Demain je pars</a>", Laurent Leoncini nous projette à la suite de son personnage dans une histoire déroutante, intense, qui éveillera des émotions franches chez le lecteur...</span></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: Verdana, sans-serif;"></span><br /></div>
<div style="text-align: justify;">
<b><span style="font-family: Verdana, sans-serif;">Lire l'article, ici</span></b><span style="font-family: Verdana, sans-serif;"> : </span><a href="http://fr.blastingnews.com/culture/2016/06/un-roman-deroutant-et-intense-de-laurent-leoncini-00963145.html" target="_blank"><span style="font-family: Verdana, sans-serif;">Demain je pars, Laurent Leoncini, Editions Points</span></a></div>
<br />
<b><u><span style="font-family: Verdana, sans-serif;">Informations sur le livre :</span></u></b><br />
<span style="font-family: Verdana, sans-serif;"></span><br />
<b><span style="font-family: Verdana, sans-serif;">Titre :</span></b><span style="font-family: Verdana, sans-serif;"> </span><a href="https://www.amazon.fr/Demain-je-pars-Laurent-Leoncini-ebook/dp/B0182C21KO/ref=as_sl_pc_qf_sp_asin_til?tag=mabachen-21&linkCode=w00&linkId=&creativeASIN=B0182C21KO" target="_blank"><span style="font-family: Verdana, sans-serif;">Demain je pars</span></a><br />
<b><span style="font-family: Verdana, sans-serif;">Auteur :</span></b><span style="font-family: Verdana, sans-serif;"> Laurent Leoncini</span><br />
<b><span style="font-family: Verdana, sans-serif;">Editions :</span></b><span style="font-family: Verdana, sans-serif;"> Librinova</span><br />
<b><span style="font-family: Verdana, sans-serif;">ASIN :</span></b><span style="font-family: Verdana, sans-serif;"> B0182C21KO</span><br />
<span style="font-family: Verdana, sans-serif;">Uniquement disponible au format numérique</span><br />
<br />
<iframe frameborder="0" marginheight="0" marginwidth="0" scrolling="no" src="//ws-eu.amazon-adsystem.com/widgets/q?ServiceVersion=20070822&OneJS=1&Operation=GetAdHtml&MarketPlace=FR&source=ac&ref=qf_sp_asin_til&ad_type=product_link&tracking_id=mabachen-21&marketplace=amazon&region=FR&placement=B0182C21KO&asins=B0182C21KO&linkId=&show_border=true&link_opens_in_new_window=true" style="height: 240px; width: 120px;">
</iframe>Les chroniques de Mariehttp://www.blogger.com/profile/09606654020878490412noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-3555274088734712828.post-635508191393129032016-06-11T02:30:00.000+02:002016-12-26T13:54:28.794+01:00Une prière pour Owen<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgFoIpSSuBXGCSup9Z44ZmTiejOqnkLOwK0AUs-RHF-JMAQ9Vfzi2k3WH2HkC-Zx-OtZGeZ58nwZsKs-EHpENIMTKai8WrMjaHL942c6u7uLK7SZAilvJ7gAfxLUhRlel98MPfs5dSM6qw/s1600/Owen.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"></a></div>
<div>
</div>
<div>
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgFoIpSSuBXGCSup9Z44ZmTiejOqnkLOwK0AUs-RHF-JMAQ9Vfzi2k3WH2HkC-Zx-OtZGeZ58nwZsKs-EHpENIMTKai8WrMjaHL942c6u7uLK7SZAilvJ7gAfxLUhRlel98MPfs5dSM6qw/s1600/Owen.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"></a></div>
<div>
</div>
<div>
<span style="font-family: Verdana, sans-serif;">- </span><b><a href="http://fr.blastingnews.com/culture/2016/06/une-priere-pour-owen-john-irving-editions-points-00960753.html" target="_blank"><span style="font-family: Verdana, sans-serif;">Une prière pour Owen</span></a><span style="font-family: Verdana, sans-serif;">, John Irving, Editions Points</span></b><br />
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgFoIpSSuBXGCSup9Z44ZmTiejOqnkLOwK0AUs-RHF-JMAQ9Vfzi2k3WH2HkC-Zx-OtZGeZ58nwZsKs-EHpENIMTKai8WrMjaHL942c6u7uLK7SZAilvJ7gAfxLUhRlel98MPfs5dSM6qw/s1600/Owen.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="200" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgFoIpSSuBXGCSup9Z44ZmTiejOqnkLOwK0AUs-RHF-JMAQ9Vfzi2k3WH2HkC-Zx-OtZGeZ58nwZsKs-EHpENIMTKai8WrMjaHL942c6u7uLK7SZAilvJ7gAfxLUhRlel98MPfs5dSM6qw/s200/Owen.jpg" width="119" /></a><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgFoIpSSuBXGCSup9Z44ZmTiejOqnkLOwK0AUs-RHF-JMAQ9Vfzi2k3WH2HkC-Zx-OtZGeZ58nwZsKs-EHpENIMTKai8WrMjaHL942c6u7uLK7SZAilvJ7gAfxLUhRlel98MPfs5dSM6qw/s1600/Owen.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"></a><span style="font-family: Verdana, sans-serif;">Un roman chargé d’humanité, d’amour et d’émotions mêlées ! Un must, tout simplement !</span></div>
<div style="text-align: justify;">
</div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: Verdana, sans-serif;">Avec ses 699 pages, "Une prière pour Owen" est sans conteste un des plus beaux ouvrages de John Irving. Cet auteur parmi d’autres, dont j’affectionne particulièrement l’écriture, nous réserve toujours de bien belles surprises avec ses histoires, où il aborde de manière assez...</span></div>
<span style="font-family: Verdana, sans-serif;"></span><br />
<b><span style="font-family: Verdana, sans-serif;">Lire l'article, ici :</span></b><span style="font-family: Verdana, sans-serif;"> </span><a href="http://fr.blastingnews.com/culture/2016/06/une-priere-pour-owen-john-irving-editions-points-00960753.html" target="_blank"><span style="color: #cc3300; font-family: Verdana, sans-serif;">Une prière pour Owen, John Irving, Editions Points</span></a><br />
<span style="font-family: Verdana, sans-serif;"></span><b></b><i></i><u></u><sub></sub><sup></sup><strike></strike><br />
<span style="font-family: Verdana, sans-serif;"></span><br />
<b><u><span style="font-family: Verdana, sans-serif;">I</span></u></b><b><u><span style="font-family: Verdana, sans-serif;">nformations sur le livre :</span></u></b><span style="font-family: Verdana, sans-serif;"> </span><br />
<b><span style="font-family: Verdana, sans-serif;"><br /></span></b>
<b><span style="font-family: Verdana, sans-serif;">Titre :</span></b><span style="font-family: Verdana, sans-serif;"> </span><a href="https://www.amazon.fr/pri%C3%A8re-pour-Owen-John-Irving/dp/2020257793/ref=as_sl_pc_qf_sp_asin_til?tag=mabachen-21&linkCode=w00&linkId=&creativeASIN=2020257793" target=""><span style="font-family: Verdana, sans-serif;">Une prière pour Owen</span></a><br />
<b><span style="font-family: Verdana, sans-serif;">Auteur :</span></b><span style="font-family: Verdana, sans-serif;"> John Irving</span><br />
<b><span style="font-family: Verdana, sans-serif;">Editions :</span></b><span style="font-family: Verdana, sans-serif;"> Points</span><br />
<b><span style="font-family: Verdana, sans-serif;">ISBN :</span></b><span style="font-family: Verdana, sans-serif;"> 9782020257794</span><br />
<b><span style="font-family: Verdana, sans-serif;">Prix :</span></b><span style="font-family: Verdana, sans-serif;"> 8,95 euros</span><br />
<br />
<iframe frameborder="0" marginheight="0" marginwidth="0" scrolling="no" src="//ws-eu.amazon-adsystem.com/widgets/q?ServiceVersion=20070822&OneJS=1&Operation=GetAdHtml&MarketPlace=FR&source=ac&ref=qf_sp_asin_til&ad_type=product_link&tracking_id=mabachen-21&marketplace=amazon&region=FR&placement=2020257793&asins=2020257793&linkId=&show_border=true&link_opens_in_new_window=true" style="height: 240px; width: 120px;">
</iframe>Les chroniques de Mariehttp://www.blogger.com/profile/09606654020878490412noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-3555274088734712828.post-66156214543214878642016-05-30T18:05:00.000+02:002016-12-26T13:51:16.241+01:00Avenue des mystères<div>
<a href="http://fr.blastingnews.com/culture/2016/05/avenue-des-mysteres-de-john-irving-00942957.html" target="_blank"><span style="font-family: "verdana" , sans-serif;">Avenue des mystères</span></a><span style="font-family: "verdana" , sans-serif;"> de </span><a href="https://fr.wikipedia.org/wiki/John_Irving"><span style="font-family: "verdana" , sans-serif;">John Irving</span></a><span style="font-family: "verdana" , sans-serif;">, Editions </span><a href="http://www.seuil.com/recherche?s=john+irving"><span style="font-family: "verdana" , sans-serif;">Seuil</span></a><br />
<span style="font-family: "verdana" , sans-serif;"><br /></span></div>
<div>
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjwbFq-FcAOLdycdRSiCRONTqmJjVQBK2dDEJIBMHs_Hb6m26vs9Y6e849uyzAF9Rv2tmiv78Wlk3ju7fm2SQCXT0eADuCejczASxizotWjaLgjIjkyfUrmdvKLhIsPnOk4QVieoqeCKv0/s1600/AvenueDesMyst%25C3%25A8res.JPG" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="200" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjwbFq-FcAOLdycdRSiCRONTqmJjVQBK2dDEJIBMHs_Hb6m26vs9Y6e849uyzAF9Rv2tmiv78Wlk3ju7fm2SQCXT0eADuCejczASxizotWjaLgjIjkyfUrmdvKLhIsPnOk4QVieoqeCKv0/s200/AvenueDesMyst%25C3%25A8res.JPG" width="130" /></a></div>
<span style="font-family: "verdana" , sans-serif;">Le dernier roman de John Irving : une énième perle à lire absolument !</span><br />
<span style="font-family: "verdana" , sans-serif;"><br /></span>
<span style="font-family: "verdana" , sans-serif;">Pour les adeptes de John Irving, mais aussi pour les autres, il serait bien injuste de ne pas reconnaître que l'imagination dont l’auteur fait preuve est loin d’être un feu de paille, et déborde sans compter. À 74 ans, ce romancier américain se balade d’histoire en...</span></div>
<div>
<span style="font-family: "verdana" , sans-serif;"></span><br /></div>
<div>
<b><span style="font-family: "verdana" , sans-serif;">Lire l'article, ici :</span></b><span style="font-family: "verdana" , sans-serif;"> </span><a href="http://fr.blastingnews.com/culture/2016/05/avenue-des-mysteres-de-john-irving-00942957.html" target="_blank"><span style="font-family: "verdana" , sans-serif;">"Avenue des mystères" de John Irving</span></a><br />
<span style="font-family: "verdana" , sans-serif;"><br /></span>
<b></b><i></i><u></u><sub></sub><sup></sup><strike></strike><span style="font-family: "verdana" , sans-serif;"></span><br />
<span style="font-family: "verdana" , sans-serif;"><b><u>Informations sur le livre :</u></b> </span><br />
<span style="font-family: "verdana" , sans-serif;"><br /></span>
<span style="font-family: "verdana" , sans-serif;"><b>Titre :</b> </span><a href="https://www.amazon.fr/Avenue-myst%C3%A8res-John-Irving/dp/2021299783/ref=as_sl_pc_tf_til?tag=mabachen-21&linkCode=w00&linkId=&creativeASIN=2021299783" target="_blank"><span style="font-family: "verdana" , sans-serif;">Avenue des mystères</span></a><br />
<span style="font-family: "verdana" , sans-serif;"><b>Auteur :</b> </span><a href="https://fr.wikipedia.org/wiki/John_Irving" target="_blank"><span style="font-family: "verdana" , sans-serif;">John Irving</span></a><br />
<span style="font-family: "verdana" , sans-serif;"><b>Editions :</b> </span><a href="http://www.seuil.com/recherche?s=john+irving" target="_blank"><span style="font-family: "verdana" , sans-serif;">Seuil</span></a><br />
<span style="font-family: "verdana" , sans-serif;"><b>ISBN :</b> 9782021299786</span><br />
<span style="font-family: "verdana";"><br /></span></div>
<iframe frameborder="0" marginheight="0" marginwidth="0" scrolling="no" src="//ws-eu.amazon-adsystem.com/widgets/q?ServiceVersion=20070822&OneJS=1&Operation=GetAdHtml&MarketPlace=FR&source=ac&ref=tf_til&ad_type=product_link&tracking_id=mabachen-21&marketplace=amazon&region=FR&placement=2021299783&asins=2021299783&linkId=&show_border=true&link_opens_in_new_window=true" style="height: 240px; width: 120px;">
</iframe>Les chroniques de Mariehttp://www.blogger.com/profile/09606654020878490412noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-3555274088734712828.post-37528242396544835902016-04-28T01:36:00.000+02:002016-04-28T02:21:25.476+02:00L'horizon à l'envers<span style="font-family: "verdana" , sans-serif;"><a href="https://www.amazon.fr/LHorizon-%C3%A0-lenvers-Marc-Levy/dp/2221157842/ref=as_sl_pc_qf_sp_asin_til?tag=mabachen-21&linkCode=w00&linkId=&creativeASIN=2221157842" target="_blank">L’horizon à l’envers</a>, <a href="http://www.laffont.fr/site/marc_levy_&181&32382.html" target="_blank">Marc Lévy</a>, <a href="http://www.laffont.fr/" target="_blank">Éditions Robert Laffont/Versilio</a></span><br />
<div style="line-height: 115%; margin: 1em 0px; text-align: justify;">
<span style="font-family: "verdana" , sans-serif;"><i>« Et
puis, il voulut croire que Luke s’était trompé, que rien de ce qu’il lui avait
dit n’était vrai, ni même possible. Une telle chose ne pouvait pas arriver à
Hope. La terre était remplie d’ordures, d’hommes qui ne servaient à rien, qui
ne faisaient que détruire, mais Hope… Hope découvrirait un jour un remède à la
maladie d’Alzheimer, alors ce n’était pas possible qu’elle soit atteinte d’un
mal incurable. Elle avait une mission à accomplir, et ce serait la pire des
saloperies qu’une tumeur l’empêche de sauver des millions de gens. Si la mort
voulait son âme, qu’elle en choisisse une autre, une bien tordue, mais pas
celle de Hope qui était si belle et si rieuse. »</i> <b><a href="https://www.amazon.fr/LHorizon-%C3%A0-lenvers-Marc-Levy/dp/2221157842/ref=as_sl_pc_qf_sp_asin_til?tag=mabachen-21&linkCode=w00&linkId=&creativeASIN=2221157842" target="_blank">Extrait du livre</a></b></span></div>
<div style="line-height: 115%; margin: 1em 0px; text-align: justify;">
<span style="font-family: "verdana" , sans-serif;"><b>Entre rêve et réalité</b></span><br />
<br />
<span style="font-family: "verdana" , sans-serif;">L’idéalisme
pour credo où l’impossible devient possible sans aucune barrière ni aucun garde-fou,
c’est ce qui pousse trois étudiants chercheurs en neurosciences ; Josh,
Hope et Luke. Et lorsque l’amour s’en mêle, tout est multiplié, amplifié. Les
rêves sont à portée de main, les utopies offrent l’illusion d’être accessibles,
ce qui fait que <i>« même en bonne santé, il faut beaucoup d’utopies pour
vivre. »</i></span></div>
<div style="line-height: 115%; margin: 1em 0px; text-align: justify;">
<span style="font-family: "verdana" , sans-serif;">Complices,
mais aussi rivales, ils travaillent sur un projet ambitieux qui doit rester
secret et où forcément la rivalité est présente, sachant que dans un tel cas,
elle <i>« est rageuse, source de créativité, d’énergie augmentée »</i>. C’est
d’ailleurs sur ce point que Flinch, le directeur du centre de recherche secret
et ultra sophistiqué, mise pour que les étudiants qu’il recrute aboutissent
dans leurs recherches.</span></div>
<div style="line-height: 115%; margin: 1em 0px; text-align: justify;">
<a href="https://images-na.ssl-images-amazon.com/images/I/41-o6iT%2ByYL._SX313_BO1,204,203,200_.jpg" imageanchor="1" style="clear: right; float: right; margin-bottom: 1em; margin-left: 1em;"></a><span style="font-family: "verdana" , sans-serif;">Dans le
cas de Josh, Hope et Luke, le projet de recherches en neurosciences est d’une ampleur
sans commune mesure. Il repose sur le codage, la sauvegarde ainsi que sur le
transfert de données du cerveau vers la machine. Des années de recherches pour
parvenir à trouver le moyen de copier et sauvegarder les souvenirs, mais aussi
la conscience d’une personne sur l’ordinateur du centre, afin, à terme, de les
réintégrer… dans un autre cerveau qui en serait privé ou dépourvu suite à un
accident de la vie, une amnésie… parce que <i>« comment accepter la précarité
de la vie si nous devions totalement disparaître avec la mort. La technologie
pourrait offrir un jour à l’homme la possibilité que la mémoire de son vécu ne
soit plus transmise par ses seuls descendants, mais par lui-même. »</i></span></div>
<div style="line-height: 115%; margin: 1em 0px; text-align: justify;">
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="http://ws-eu.amazon-adsystem.com/widgets/q?_encoding=UTF8&ASIN=2221157842&Format=_SL250_&ID=AsinImage&MarketPlace=FR&ServiceVersion=20070822&WS=1&tag=mabachen-21" imageanchor="1" style="clear: right; float: right; margin-bottom: 1em; margin-left: 1em;"><img border="0" src="http://ws-eu.amazon-adsystem.com/widgets/q?_encoding=UTF8&ASIN=2221157842&Format=_SL250_&ID=AsinImage&MarketPlace=FR&ServiceVersion=20070822&WS=1&tag=mabachen-21" height="320" width="202" /></a></div>
<span style="font-family: "verdana" , sans-serif;">Le pari
est osé, fou aussi, toutefois les premiers résultats, tellement probants, puis
les suivants le sont plus encore, qu’ils leur offrent la promesse d’une
éternité probable. L’amour sans borne qui unit Josh et Hope n’est pas étranger
à l’évolution de leurs recherches : <i>« Parfois […] il est impossible d’expliquer
ce que tu ressens pour quelqu’un, mais tu sais que cette personne t’emmène là
où tu n’étais encore jamais allé. »</i></span></div>
<div style="line-height: 115%; margin: 1em 0px; text-align: justify;">
<a href="https://images-na.ssl-images-amazon.com/images/I/41-o6iT%2ByYL._SX313_BO1,204,203,200_.jpg" imageanchor="1" style="clear: right; float: right; margin-bottom: 1em; margin-left: 1em;"></a><span style="font-family: "verdana" , sans-serif;"><b>Pour atteindre les limites du possible rien n'est impossible</b></span><br />
<span style="font-family: "verdana" , sans-serif;"><br /></span>
<span style="font-family: "verdana" , sans-serif;">Cet amour
poussera encore plus loin les limites du possible et de l’entendement lorsqu’ils
apprendront que Hope est atteinte d’une tumeur incurable au cerveau. Malgré le
tragique de la situation, elle ne perdra pas sa bonne humeur, battante même
dans les moments d’intense fatigue, jouant chaque fois la carte de l’humour :
<i>« Elles se sentent bien dans mon cerveau</i> [les tumeurs], <i>elles doivent le
trouver super confortable »</i>. Une question reste en suspend à laquelle
personne n’a de réponse, mais qui nous mène à une profonde réflexion : <i>« Quelles
bonnes raisons justifient que l’on meure avant d’avoir vécu ? »</i></span></div>
<div style="line-height: 115%; margin: 1em 0px; text-align: justify;">
<span style="font-family: "verdana" , sans-serif;">Bien que
jusque là elle fût le « thermomètre » de leur trio, modérant les
ardeurs de chacun pour qu’ils ne perdent pas pied avec la réalité, après la
découverte de cette tumeur dans son cerveau, Hope s’investira complètement et
sans plus de retenue avec ses partenaires de recherches, ses complices, gardant
<i>« le sourire comme un habit de dignité, précieux et rare en de telles
circonstances. »</i></span></div>
<div style="line-height: 115%; margin: 1em 0px; text-align: justify;">
<span style="font-family: "verdana" , sans-serif;">À
travers ce roman, <a href="https://www.amazon.fr/LHorizon-%C3%A0-lenvers-Marc-Levy/dp/2221157842/ref=as_sl_pc_qf_sp_asin_til?tag=mabachen-21&linkCode=w00&linkId=&creativeASIN=2221157842" target="_blank">l’auteur</a> nous amène à réfléchir sur ce qui fait la vie et la mort, car <i>« la
vie, la mort ce n’est jamais qu’une question de temps »</i>, la moralité et l’éthique,
la maladie et la recherche, l’amour et l’amitié, mais aussi nos relations avec
les autres dans leur ensemble.</span></div>
<div style="line-height: 115%; margin: 1em 0px; text-align: justify;">
<span style="font-family: "verdana" , sans-serif;">Les
personnages sont touchants, voire attachants, même Luke en dépit de ses airs d’ours
bourru parviendra à atteindre notre estime.</span></div>
<div style="line-height: 115%; margin: 1em 0px; text-align: justify;">
<span style="font-family: "verdana" , sans-serif;"><a href="https://www.amazon.fr/LHorizon-%C3%A0-lenvers-Marc-Levy/dp/2221157842/ref=as_sl_pc_qf_sp_asin_til?tag=mabachen-21&linkCode=w00&linkId=&creativeASIN=2221157842" target="_blank">Marc Lévy</a> nous offre avec <i>« <a href="https://www.amazon.fr/LHorizon-%C3%A0-lenvers-Marc-Levy/dp/2221157842/ref=as_sl_pc_qf_sp_asin_til?tag=mabachen-21&linkCode=w00&linkId=&creativeASIN=2221157842" target="_blank">L’horizon à l’envers</a> »</i>, une histoire d’amour
bouleversante où la trame tourne autour des thèmes où il excelle à merveille, à
savoir les relations quelles soient amicales, amoureuses ou filiales avec cette
fois une bonne dose de sciences et neurosciences en prime.</span></div>
<div style="line-height: 115%; margin: 1em 0px; text-align: justify;">
<span style="font-family: "verdana" , sans-serif;">Nous constaterons
d’ailleurs que les recherches mêmes de <a href="https://www.amazon.fr/LHorizon-%C3%A0-lenvers-Marc-Levy/dp/2221157842/ref=as_sl_pc_qf_sp_asin_til?tag=mabachen-21&linkCode=w00&linkId=&creativeASIN=2221157842" target="_blank">l’auteur</a> n’ont été ni négligeables ni
superficielles, un vrai travail de prospection a dû être nécessaire pour
parvenir à un résultat aussi abouti. On notera un certain approfondissement
pour enrichir cet ouvrage.</span></div>
<div style="line-height: 115%; margin: 1em 0px; text-align: justify;">
<span style="font-family: "verdana" , sans-serif;">Retenons
tout de même que <i>« Le bonheur se résume finalement à de toutes petites
choses »</i>, et ça, c’est une vérité indéniable, pas une utopie !</span></div>
<div style="line-height: 115%; margin: 1em 0px; text-align: justify;">
<span style="font-family: "verdana" , sans-serif;"><a href="http://www.marie-barrillon.com/index.html" target="_blank">Marie BARRILLON</a></span><br />
<span style="font-family: "verdana" , sans-serif;">(Avril
2016)</span></div>
<div style="line-height: 115%; margin: 1em 0px; text-align: justify;">
<b><u><span style="font-family: "verdana" , sans-serif;">Quelques
phrases relevées au cours de ma lecture :</span></u></b><span style="font-family: "verdana" , sans-serif;"> </span></div>
<div style="line-height: 115%; margin: 1em 0px; text-align: justify;">
<span style="font-family: "verdana" , sans-serif;"><i>« Je
n’ai qu’un cœur et je n’ai pas envie qu’on me l’abîme. »</i></span><br />
<span style="font-family: "verdana" , sans-serif;"><i>« Quelqu’un
qui vous garde dans ses bras quand il dort, qui vous sourit en ouvrant les
yeux, c’est comme une étincelle d’amour qui peut vous rendre heureuse. »</i></span><br />
<span style="font-family: "verdana" , sans-serif;"><i>« Si
tu n’es pas prête à tout pour repousser les murs de ton quotidien, alors
peut-être que tu ne veux pas être heureuse. »</i></span><br />
<span style="font-family: "verdana" , sans-serif;"><i>« Constater
un problème est une chose, le résoudre en est une autre, surtout quand les
intérêts économiques des uns se trouvent sur le chemin des autres. »</i></span><br />
<span style="font-family: "verdana" , sans-serif;"><i>« On
a tous des fêlures, c’est par elles que la lumière entre. »</i></span><br />
<span style="font-family: "verdana" , sans-serif;"><i>« Il
est d’amples poitrines qui, pour respirer à l’aise, n’auront pas assez de l’univers. »</i></span><br />
<span style="font-family: "verdana" , sans-serif;"><i>« Il
est des souvenirs que les années n’effacent pas. »</i></span><br />
<span style="font-family: "verdana" , sans-serif;"><i>« Lorsque
maman est morte, j’ai nourri en moi le chagrin de son absence, je le nourris
encore. Je ne voulais pas qu’il m’abandonne aussi, cela aurait été comme la
perdre une deuxième fois. Je n’avais plus que cette douleur pour me rattacher à
elle. »</i></span><br />
<span style="font-family: "verdana" , sans-serif;"><i>« Je
veux rester émerveillé par un secret que l’on échange dans le silence d’un
regard au milieu de tous. »</i></span><br />
<span style="font-family: "verdana" , sans-serif;"><i>« Si
la brigade de la modestie passe par là, tu prends perpète… »</i></span><br />
<span style="font-family: "verdana" , sans-serif;"><i>« Quel
homme aurait ta sensibilité si une histoire d’amour ne l’avait pas fait
souffrir ? Les plans d’origine chez les garçons sont bien trop imparfaits,
il a forcément fallu que tu te reconstruises. »</i></span><br />
<span style="font-family: "verdana" , sans-serif;"><i>« Même
dans l’antichambre du néant l’homme trouvait encore le moyen d’imposer des
règlements. »</i></span><br />
<span style="font-family: "verdana" , sans-serif;"><i>« Il
avait horreur des silences parce qu’ils faisaient pousser les regrets comme
autant de fleurs fanées avant d’avoir vécu. »</i></span><br />
<span style="font-family: "verdana" , sans-serif;"><i>« Leurs
conversations fouillaient les greniers de leurs vies et des bribes de bonheur
finissaient toujours par surgir des cartons poussiéreux de leur mémoire. »</i></span><br />
<span style="font-family: "verdana" , sans-serif;"><i>« Tu
feras le premier pas, c’est le plus dur, les autres suivent sans que l’on s’en
rende compte. »</i></span><br />
<span style="font-family: "verdana" , sans-serif;"><i>« L’histoire
est pavée d’hommes de petite taille qui furent de grandes lumières. »</i></span><br />
<span style="font-family: "verdana" , sans-serif;"><i>« Nous
avons été heureux et cela implique certains devoirs à l’égard du bonheur. »</i></span><br />
<span style="font-family: "verdana" , sans-serif;"><i>« Il
y a toujours de belles choses à découvrir, même dans les moments les plus
moches. »</i></span><span style="font-family: "verdana" , sans-serif;"> </span></div>
<div style="line-height: 115%; margin: 1em 0px; text-align: justify;">
<b><u><span style="font-family: "verdana" , sans-serif;">Informations
sur le livre :</span></u></b></div>
<div style="line-height: 115%; margin: 1em 0px; text-align: justify;">
<b><span style="font-family: "verdana" , sans-serif;">Titre :</span></b><span style="font-family: "verdana" , sans-serif;">
<a href="https://www.amazon.fr/LHorizon-%C3%A0-lenvers-Marc-Levy/dp/2221157842/ref=as_sl_pc_qf_sp_asin_til?tag=mabachen-21&linkCode=w00&linkId=&creativeASIN=2221157842" target="_blank">L’horizon à l’envers</a></span><br />
<b><span style="font-family: "verdana" , sans-serif;">Auteur :</span></b><span style="font-family: "verdana" , sans-serif;">
<a href="http://www.laffont.fr/site/marc_levy_&181&32382.html" target="_blank">Marc Lévy</a></span><br />
<b><span style="font-family: "verdana" , sans-serif;">Éditions :</span></b><span style="font-family: "verdana" , sans-serif;">
<a href="http://www.laffont.fr/" target="_blank">Robert Laffont/Versilio</a></span><br />
<b><span style="font-family: "verdana" , sans-serif;">ISBN :</span></b><span style="font-family: "verdana" , sans-serif;">
9782221157848</span><br />
<b><span style="font-family: "verdana" , sans-serif;">Prix :</span></b><span style="font-family: "verdana" , sans-serif;">
21,50 €</span></div>
<iframe frameborder="0" marginheight="0" marginwidth="0" scrolling="no" src="//ws-eu.amazon-adsystem.com/widgets/q?ServiceVersion=20070822&OneJS=1&Operation=GetAdHtml&MarketPlace=FR&source=ac&ref=qf_sp_asin_til&ad_type=product_link&tracking_id=mabachen-21&marketplace=amazon&region=FR&placement=2221157842&asins=2221157842&linkId=&show_border=true&link_opens_in_new_window=true" style="height: 240px; width: 120px;">
</iframe>Les chroniques de Mariehttp://www.blogger.com/profile/09606654020878490412noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-3555274088734712828.post-85040049803034025502016-04-05T20:12:00.000+02:002016-04-05T20:12:36.782+02:00L’immeuble des femmes qui ont renoncé aux hommes<span style="font-family: "verdana" , sans-serif;"><a href="http://www.amazon.fr/gp/product/B00K0P8UCK?ie=UTF8&camp=1642&creativeASIN=B00K0P8UCK&linkCode=xm2&tag=mabachen-21" target="_blank">L’immeuble des femmes qui ont renoncé aux hommes</a> </span><span style="font-family: "verdana" , sans-serif;">de <a href="http://www.livredepoche.com/biographie-karine-lambert-24089" target="_blank">Karine Lambert</a>, Éditions <a href="http://www.livredepoche.com/" target="_blank">Le Livre de Poche</a></span><br />
<div style="margin: 1em 0px; text-align: justify;">
<span style="font-family: "verdana" , sans-serif;"> </span><i><span style="font-family: "verdana" , sans-serif;">« Il a fait froid
toute la semaine. Les rues sont désertes. Même Jean-Pierre a renoncé à sa virée
quotidienne. Dans l’immeuble des femmes, aucun bruit, chacune est calfeutrée
dans son appartement. Au deuxième étage, Juliette se demande si elles rêvent d’un
homme, si elles pensent à l’avenir, si elles envisagent de finir leur vie sans
caresses. Et si elle est à la bonne place avec une Reine qui parle aux bambous
et une accro de yoga qui se met sur la tête à tout bout de champ. Depuis qu’elle
vit ici, elle visualise ses vieux jours. Le scénario est toujours le même. »</span></i><span style="font-family: "verdana" , sans-serif;">
</span><b><span style="font-family: "verdana" , sans-serif;">Extrait du livre</span></b></div>
<div style="margin: 1em 0px; text-align: justify;">
<span style="font-family: "verdana" , sans-serif;"><b>« La casa
Célestina »</b></span></div>
<div style="margin: 1em 0px; text-align: justify;">
<span style="font-family: "verdana" , sans-serif;">Elles sont cinq femmes,
d’âges et de statut différents, groupées dans un petit nid où les hommes n’ont
pas droit de légion, et encore moins celui d’y avancer un pied. Seul Jean-Pierre,
le chat, règne en maître en tant que mâle parmi ces femmes. Autant dire qu’il
est choyé !</span></div>
<div style="margin: 1em 0px; text-align: justify;">
<span style="font-family: "verdana" , sans-serif;">Ce petit nid, <i>« <a href="http://www.amazon.fr/gp/product/B00K0P8UCK?ie=UTF8&camp=1642&creativeASIN=B00K0P8UCK&linkCode=xm2&tag=mabachen-21" target="_blank">L’immeuble des femmes qui ont renoncé aux hommes</a> »</i>, appelé <i>« La casa Célestina »</i>,
elles l’ont investi chacune à leur tour, et chacune avec ses raisons personnelles,
légitimes ou non.</span></div>
<div style="margin: 1em 0px; text-align: justify;">
<span style="font-family: "verdana" , sans-serif;">Elles ne sont pas
foncièrement féministes, mais les souffrances d’un passé, pas toujours si
lointain, les ont amenées à fermer les yeux sur la gent masculine, plus par
souci de préservation de soi. Ceci étant la première des motivations</span></div>
<div style="margin: 1em 0px; text-align: justify;">
<span style="font-family: "verdana" , sans-serif;">Tout se déroule bien
dans le petit immeuble, jusqu’à l’arrivée de Juliette, une jeunette de trente
et un ans, qui ne comprend pas l’état d’esprit de ces femmes qu’elle prend
cependant en affection. Toutefois, elle n’hésitera pas à les affronter pour
dire tout haut ce qu’elle pense, quitte à mettre aux pieds de chacune d’entre
elles les mauvaises raisons, à son sens, qu’elles ont utilisé pour, soit déculpabiliser,
soit se dédouaner, soit encore se créer des prétextes pour ne pas voir l’évidence
ou la réalité, parfois si flagrante, qu’elles refusent sciemment ou non d’affronter.
Simone avancera : <i>« Je n’ai pas renoncé aux hommes. J’ai renoncé à en
prendre plein la gueule. […] Chacun chez soi et les vaches seront bien gardées. »</i></span></div>
<div style="margin: 1em 0px; text-align: justify;">
<span style="font-family: "verdana";"><b>Où est le bonheur dans tout cela ?</b></span></div>
<div style="margin: 1em 0px; text-align: justify;">
<a href="http://ecx.images-amazon.com/images/I/51XSSy8o5jL._SX307_BO1,204,203,200_.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" src="http://ecx.images-amazon.com/images/I/51XSSy8o5jL._SX307_BO1,204,203,200_.jpg" height="320" width="198" /></a><span style="font-family: "verdana" , sans-serif;">Sont-elles vraiment
heureuses sans présence masculine ? Pourquoi pas ! Simone ajoutera
encore : <i>« Nous sommes libres. Des locataires volontaires. Et ce n’est
pas un gratte-ciel, juste un petit immeuble. Cinq femmes, dont une qui n’a pas
du tout renoncé. À l’échelle planétaire, c’est une minorité, pas une épidémie.
[…] Le couple n’est pas le seul modèle. Il y a plein de façons d’être heureux. »</i></span></div>
<div style="margin: 1em 0px; text-align: justify;">
<span style="font-family: "verdana" , sans-serif;">Après tout, n’est-il
pas important de ne pas être malheureux, même si au final nous ne sommes pas
heureux ? Ne pas être heureux sans être malheureux, c’est déjà mieux que d’être
malheureux et ne rien faire pour changer cet état de fait.</span></div>
<div style="margin: 1em 0px; text-align: justify;">
<a href="http://ecx.images-amazon.com/images/I/51XSSy8o5jL._SX307_BO1,204,203,200_.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"></a><span style="font-family: "verdana" , sans-serif;">Ces cinq femmes se
retrouvent régulièrement pour des repas amicaux, des sorties et autres
activités. Elles semblent être sereines, mais c’est sans compter sur l’installation
de Juliette, venue avec son grain de sel gros comme la tête d’un bonhomme de
neige pour chambouler toute la maisonnée. Parce qu’il est, pour elle,
inconcevable de vivre sans homme, irréel de fermer la porte à tout besoin de
tendresse. Et Juliette, elle est tout le contraire de cela. En constante
recherche d’amour, de romantisme, d’attention, de douceur, et tout ce qu’offre
le grand amour. Elle a tant besoin de tout cela, elle, justement.</span></div>
<div style="margin: 1em 0px; text-align: justify;">
<span style="font-family: "verdana" , sans-serif;">Néanmoins, avant de
tout retourner dans le cœur de chacune, elle va chercher à comprendre les
motivations de ses nouvelles amies. Parce que vivre pour soi c’est bien, mais
ça ne suffit pas pour Juliette qui estime que la vie c’est autre chose de plus
attrayant.</span></div>
<div style="margin: 1em 0px; text-align: justify;">
<span style="font-family: "verdana" , sans-serif;">Parviendra-t-elle à
leur faire entendre [sa] raison ?</span></div>
<div style="margin: 1em 0px; text-align: justify;">
<span style="font-family: "verdana" , sans-serif;"><i>« <a href="http://www.amazon.fr/gp/product/B00K0P8UCK?ie=UTF8&camp=1642&creativeASIN=B00K0P8UCK&linkCode=xm2&tag=mabachen-21" target="_blank">L’immeuble des femmes qui ont renoncé aux hommes</a> »</i> est une histoire sympathique où l’on
retrouve toutes sortes d’émotions. L’entraide et le respect entre chacune sont
pure évidence. Doutes et remise en question seront aussi au programme.</span></div>
<div style="margin: 1em 0px; text-align: justify;">
<span style="font-family: "verdana" , sans-serif;">Ce roman est rédigé d’une
plume légère et limpide. Les personnages sont attachants, mais pas apitoyés, drôles
sans jamais être colériques.</span></div>
<div style="margin: 1em 0px; text-align: justify;">
<span style="font-family: "verdana" , sans-serif;">On notera également que
ce n’est pas, ici, un règlement de compte contre, ou envers, les hommes ni une
quelconque vengeance. Il n’y a rien dans cet ouvrage qui va dans ce sens. C’est
bon, c’est léger avec des pointes d’humour parsemées, en prime.</span></div>
<div style="margin: 1em 0px; text-align: justify;">
<span style="font-family: "verdana" , sans-serif;">À lire avec le cœur !</span></div>
<div style="margin: 1em 0px; text-align: justify;">
<span style="font-family: "verdana" , sans-serif;"><u><b>Petites phrases
relevées en cours de lecture :</b></u></span></div>
<div style="margin: 1em 0px; text-align: justify;">
<span style="font-family: "verdana" , sans-serif;">« Il n’y a que sur
scène qu’on peut danser tous les jours la même chorégraphie avec son partenaire
sans tomber. Dans la vie c’est plus périlleux. »</span><br />
<span style="font-family: "verdana" , sans-serif;">« L’amour […] c’est
un voyage obstiné. Le véritable amour, il est sauvage, ce n’est pas un jardin
qu’on cultive. »</span><br />
<span style="font-family: "verdana" , sans-serif;">« Quand on est en
colère ou triste, les pensées se transforment en marsupilamis bondissants. »</span><br />
<span style="font-family: "verdana" , sans-serif;">« Quand on se met
au régime, on ne va pas s’installer dans un magasin de pralines. »</span><br />
<span style="font-family: "verdana" , sans-serif;">« On ne peut pas
se protéger en amour. La seule protection c’est l’abstinence. »</span><br />
<span style="font-family: "verdana" , sans-serif;">« Je ne fais pas
la grève de la faim. […] Je choisis un autre menu. »</span><br />
<span style="font-family: "verdana" , sans-serif;">« Les pensées, c’est
comme les insectes. Quand tu les entends voler, reviens à ta respiration. Il y
a une oasis à l’intérieur de toi, elle attend que tu viennes t’y reposer, te
défroisser… »</span><br />
<span style="font-family: "verdana" , sans-serif;">« Si tu n’es pas
heureux aujourd’hui, cache ta douleur derrière ton sourire. »</span><br />
<span style="font-family: "verdana" , sans-serif;">« La vie c’est une
succession de déséquilibres. »</span><br />
<span style="font-family: "verdana" , sans-serif;">« Les hommes ont
besoin d’être emmenés là où ils ne s’y attendent pas. Insaisissable, telle une
libellule, ils te pensent là et tu es ailleurs. Attention ! C’est une
recette pour un soir, pas un pot-au-feu pour la vie. »</span></div>
<div style="margin: 1em 0px; text-align: justify;">
<span style="font-family: "verdana" , sans-serif;"><a href="http://www.marie-barrillon.com/index.html" target="_blank">Marie BARRILLON</a></span></div>
<div style="margin: 1em 0px; text-align: justify;">
<span style="font-family: "verdana" , sans-serif;"><u><b>Informations sur le
livre :</b></u></span></div>
<div style="margin: 1em 0px; text-align: justify;">
<span style="font-family: "verdana" , sans-serif;"><b>Titre :</b> <a href="http://www.amazon.fr/gp/product/B00K0P8UCK?ie=UTF8&camp=1642&creativeASIN=B00K0P8UCK&linkCode=xm2&tag=mabachen-21" target="_blank">L’immeuble des femmes qui ont renoncé aux hommes</a></span></div>
<div style="margin: 1em 0px; text-align: justify;">
<span style="font-family: "verdana" , sans-serif;"><b>Auteur :</b> <a href="http://www.livredepoche.com/biographie-karine-lambert-24089" target="_blank">Karine Lambert</a></span></div>
<div style="margin: 1em 0px; text-align: justify;">
<span style="font-family: "verdana" , sans-serif;"><b>Éditions :</b> <a href="http://www.livredepoche.com/" target="_blank">Le Livre de Poche</a></span></div>
<div style="margin: 1em 0px; text-align: justify;">
<span style="font-family: "verdana" , sans-serif;"><b>ISBN :</b> 9782253182719</span></div>
<div style="margin: 1em 0px; text-align: justify;">
<span style="font-family: "verdana";"><b>Prix <a href="http://www.amazon.fr/gp/product/2253182710?ie=UTF8&camp=1642&creativeASIN=2253182710&linkCode=xm2&tag=mabachen-21" target="_blank">format poche :</a></b><a href="http://www.amazon.fr/gp/product/2253182710?ie=UTF8&camp=1642&creativeASIN=2253182710&linkCode=xm2&tag=mabachen-21" target="_blank"> 6,60 €</a></span></div>
<div style="margin: 1em 0px; text-align: justify;">
<span style="font-family: "verdana" , sans-serif;"><b>Prix <a href="http://www.amazon.fr/gp/product/B00K0P8UCK?ie=UTF8&camp=1642&creativeASIN=B00K0P8UCK&linkCode=xm2&tag=mabachen-21" target="_blank">numérique Kindle :</a></b><a href="http://www.amazon.fr/gp/product/B00K0P8UCK?ie=UTF8&camp=1642&creativeASIN=B00K0P8UCK&linkCode=xm2&tag=mabachen-21" target="_blank"> 6,99 €</a> </span></div>
<b></b><i></i><u></u><sub></sub><sup></sup><strike></strike>
<iframe frameborder="0" marginheight="0" marginwidth="0" scrolling="no" src="//ws-eu.amazon-adsystem.com/widgets/q?ServiceVersion=20070822&OneJS=1&Operation=GetAdHtml&MarketPlace=FR&source=ac&ref=tf_til&ad_type=product_link&tracking_id=mabachen-21&marketplace=amazon&region=FR&placement=2253182710&asins=2253182710&linkId=&show_border=true&link_opens_in_new_window=true" style="height: 240px; width: 120px;">
</iframe>Les chroniques de Mariehttp://www.blogger.com/profile/09606654020878490412noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-3555274088734712828.post-39127863752303613612015-09-03T08:30:00.000+02:002015-09-27T21:16:30.299+02:00La vie en mieux<span style="font-family: Verdana, sans-serif;"><a href="http://www.amazon.fr/gp/product/2842637968?ie=UTF8&camp=1642&creativeASIN=2842637968&linkCode=xm2&tag=mabachen-21" target="_blank">La vie en mieux</a> d’Anna Gavalda, Éditions <a href="http://www.ledilettante.com/auteur-134.htm" target="_blank">LeDilettante</a></span><br />
<div style="text-align: justify;">
</div>
<div style="margin: 1em 0px; text-align: justify;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: Verdana, sans-serif;">« Tous mes sens étaient sollicités, flattés, fêtés. Ce n’était pas
le vin qui m’enivrait, c’était eux. Eux deux. Cette escalade, ce jeu entre eux,
cette façon qu’ils avaient de se couper sans cesse la parole en me tendant la
main pour me hisser à bord, à leur bord, et me faire rire de nouveau. J’adorais
ça. J’avais l’impression d’être un morceau de barbaque qu’on aurait mis à
décongeler au soleil. Je ne me souvenais plus que j’avais tant de répartie, que
j’étais si poreux, si tendre et à ce point digne d’attention. Oui, je l’avais
oublié. Ou peut-être ne l’avais-je jamais su… »</span></i><span style="font-family: Verdana, sans-serif;"> Extrait de la seconde
nouvelle du livre </span></div>
<div style="text-align: justify;">
</div>
<div style="margin: 1em 0px; text-align: justify;">
<span style="font-family: Verdana, sans-serif;"><b>Deux vies différentes… Mais,
avec des points communs</b></span></div>
<div style="text-align: justify;">
</div>
<div style="margin: 1em 0px; text-align: justify;">
<span style="font-family: Verdana, sans-serif;">Cet ouvrage regroupe
deux longues nouvelles sur la vie de deux personnages paumés ou écorchés, emplis
de désillusions. Elles sont différentes (ces vies) tout en ayant pour point
commun le mal-être des personnages principaux de ces histoires.</span></div>
<div style="text-align: justify;">
</div>
<div style="margin: 1em 0px; text-align: justify;">
<span style="font-family: Verdana, sans-serif;">Ce mal-être que nous
pouvons constater autour de nous dans le quotidien de certaines personnes,
parfois même dans notre propre entourage. Un emploi non valorisant, sans
objectif, une insatisfaction latente, et où la superficialité agrémente les
jours. </span></div>
<div style="text-align: justify;">
</div>
<div style="margin: 1em 0px; text-align: justify;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/proxy/AVvXsEjnSt7fG0HwYBE4sVkz0B49T2GbW2NDw3gZE-tAB_WWIP6GRqAO_zbB6W13D6tqZM5axcG5vFylHPuVlrAjhFViaKfD2phEVW7YGsYH17gZIlg6DdjOvuiENp_zfRqlCS937RJMBrfLonGrwl1pwY_Fz81LNCnmKw9pWHU_aFLhkM8ODPzV0HXz140bKnI=" imageanchor="1" style="clear: right; float: right; margin-bottom: 1em; margin-left: 1em;"><img border="0" src="http://ecx.images-amazon.com/images/I/41eCF3eF-kL._SX332_BO1,204,203,200_.jpg" height="320" width="194" /></a><span style="font-family: Verdana, sans-serif;">Dans la première
histoire, c’est Mathilde, 24 ans, que nous suivons. Engoncée dans un travail
sans intérêt, monotone et ennuyeux, malgré des études d’art : </span><i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: Verdana, sans-serif;">« J’occupais les mains pour tromper l’esprit »</span></i><span style="font-family: Verdana, sans-serif;">.
Elle vit en colocation avec deux sœurs et alors qu’une mission lui est confiée,
un incident fâcheux va malmener son quotidien. Elle va donc réaliser à quel
point sa vie n’a que peu de sens, auréolée de grisaille : </span><i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: Verdana, sans-serif;">« Maintenant, et même si ça ne se voit
pas à l’œil nu, je suis recroquevillée sur le bord de la vie et j’attends qu’elle
passe »</span></i><span style="font-family: Verdana, sans-serif;">. <span style="clear: right; float: right; font-family: Verdana, sans-serif; margin-bottom: 1em; margin-left: 1em;"></span></span></div>
<div style="text-align: justify;">
</div>
<div style="margin: 1em 0px; text-align: justify;">
<span style="font-family: Verdana, sans-serif;">Dans la seconde, Yann
qui est visiblement en recherche d’un sens à sa vie et qui en prendra
conscience en faisant la connaissance de ses voisins est attachant et
sympathique. Ses voisins, un couple atypique, fantasque, mais chaleureux, très
proche et très amoureux, et leurs deux petites filles. Chez eux, la vie
explose, ça respire le bon air, la fantaisie et le bonheur sans pour autant
passer à côté de petits coups de gueule pour mieux se réconcilier. Chez eux, on
discute de tout, on rit… on vit ! </span><br />
<span style="clear: right; float: right; font-family: Verdana, sans-serif; margin-bottom: 1em; margin-left: 1em;"></span>
<span style="font-family: Verdana, sans-serif;"><br /></span>
<span style="font-family: Verdana, sans-serif;">Yann comprend que sa
vie à lui est bien différente, voire à l’opposée, qu’il passe largement à côté
de tout, notamment du bonheur, en l’occurrence en amour : </span><i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: Verdana, sans-serif;">« Je n’aime pas l’idée de faire de la
peine. […] Je ne l’aime plus assez pour continuer à jouer la comédie du gentil
petit couple, mais j’aime trop les gens pour prendre le risque de blesser l’un
d’entre eux »</span></i><span style="font-family: Verdana, sans-serif;">. Il prend conscience que sa petite amie n’est pas celle qu’il
lui faut, lui rappelant sans cesse qu’elle est d’une certaine classe sociale,
une « classe supérieure », montrant mépris et mésestime pour ceux qui
ne seraient pas de « son rang ». </span></div>
<div style="text-align: justify;">
</div>
<div style="margin: 1em 0px; text-align: justify;">
<span style="font-family: Verdana, sans-serif;">Ces deux histoires
mettent en avant les problèmes liés à la société actuelle, où l’individualisme,
voulu ou non, prend le pas sur un quotidien qui ne trouve pas forcément de but.
Réaliser et se réaliser devient difficile dans la course de l’existence que
chacun doit mener. Un état qui, malheureusement, tend à se généraliser. </span></div>
<div style="text-align: justify;">
</div>
<div style="margin: 1em 0px; text-align: justify;">
<span style="font-family: Verdana, sans-serif;"><b>Mon avis</b> </span></div>
<div style="text-align: justify;">
</div>
<div style="margin: 1em 0px; text-align: justify;">
<span style="font-family: Verdana, sans-serif;">Bien que ces histoires
reflètent une certaine réalité, j’ai noté des maladresses, de l’incohérence
dans la première histoire également. J’ai été quelque peu dérangée par une
incontestable vulgarité, parfois virulente, en voulant le faire passer pour un « parlé
branché » ou « à la mode », même si dans la seconde histoire les
réflexions sont plus sensées, clairvoyantes ou judicieuses. Cette vulgarité était-elle
vraiment nécessaire ? À mon sens, cela amoindrit l’effet recherché. </span></div>
<div style="text-align: justify;">
</div>
<div style="margin: 1em 0px; text-align: justify;">
<span style="font-family: Verdana, sans-serif;">Dans cet ouvrage, nous
sommes loin de la plume que nous connaissions de l’auteur au travers de « Je
l’aimais » ou « Ensemble, c’est tout », et j’ai trouvé cela fort
dommage. Trop de parenthèses jalonnent ces histoires rendant la lecture encore
moins agréable. Un peu d’humour tout de même relève ce constat (personnel). Mais,
l’attrait Gavalda n’y est pas ! </span></div>
<div style="text-align: justify;">
</div>
<div style="margin: 1em 0px; text-align: justify;">
<span style="font-family: Verdana, sans-serif;"><b><u>Quelques phrases tout de même retenues au cours de ma lecture :</u></b></span><br />
<br />
<span style="font-family: Verdana, sans-serif;">« L’amour, on le reconnaît au souk qu’il fout en débarquant. »<br />« Il n’y a pas besoin de suivre les cours d’une école de design pour reconnaître l’importance des détails. »<br />« Si tu tiens vraiment à quelque chose dans la vie, eh bien, fais ce qu’il faut pour ne pas le perdre. »<br />« Mon seul talent, c’est de reconnaître celui des autres. »<br />« Il arrive toujours un moment où il faut aller chercher sa chance par la peau du cou et essayer de l’émouvoir en misant le tout sur le tout. »<br />« Que c’est difficile d’être soi quand soi ne vous inspire pas. »<br />« À défaut d’être grand, restons décents. »<br />« J’avançais de plus en plus vite pour essayer de semer mes objections. »<br />« Certaines fois, certaines larmes servent à amorcer toutes les autres. »</span><br />
<span style="font-family: Verdana;"><br /></span>
<span style="font-family: Verdana, sans-serif;"><a href="http://www.marie-barrillon.com/index.html" target="_blank">Marie BARRILLON</a></span><br />
<br />
<span style="font-family: Verdana, sans-serif;"><b><u>Informations sur le livre :</u></b></span><br />
<span style="font-family: Verdana;"><br /></span>
<span style="font-family: Verdana, sans-serif;"><b>Titre :</b> <a href="http://www.amazon.fr/gp/product/2842637968?ie=UTF8&camp=1642&creativeASIN=2842637968&linkCode=xm2&tag=mabachen-21" target="_blank">La vie en mieux</a><br /><b>Auteur :</b> Anna Gavalda<br /><b>Éditions :</b> <a href="http://www.ledilettante.com/auteur-134.htm" target="_blank">Le Dilettante</a><br /><b>ISBN :</b> 9782842637965<br /><b>Prix :</b> 17,00 € </span><br />
<span style="font-family: Verdana;"><b></b><u><br /></u></span>
<span style="font-family: Verdana, sans-serif;"><b>Poche :</b> <a href="http://www.amazon.fr/gp/product/2290115010?ie=UTF8&camp=1642&creativeASIN=2290115010&linkCode=xm2&tag=mabachen-21" target="_blank">J’ai lu</a> <br /><b>Prix :</b> 7,80 €<br /><b>ISBN :</b> 9782290115015</span><br />
<span style="font-family: Verdana;"><br /></span></div>
<b></b><i></i><u></u><sub></sub><sup></sup><strike></strike>
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